Gourou sexologue si serviable - Histoires de Sexe

Gourou sexologue si serviable

... bonheur de ton si aimable collègue et ton mariage te pourrit la vie, n’est plus que le poteau auquel tu es enchaînée jusqu’à ma mort dans l’impossibilité de briser le terrible célibat de ce très dévoué et serviable Robert. Avant de m’empoisonner, as-tu cherché une autre solution que ma mort pour pouvoir vivre avec le bel homme ?
— Allons, ne t’énerve pas. J’ai réfléchi à la manière de ranimer notre amour. Ce pourrait-être un problème à résoudre à deux, non ?
— Je ne demande que ça. Je vais essayer de faire des efforts pour être plus tendre et plus attentif si c’est-ce que tu souhaites. J’écrirai des poèmes pour toi, je…
— Faire des efforts ? Oui. Bien que cela me paraisse insuffisant. J’aurais une proposition à te faire. Je t’ai parlé d’électrochoc, tu as entendu ?
— Oui, mais encore. Tu me voues à la chaise électrique ?
— Avec ta permission et seulement si tu en es d’accord, je voudrais avoir une expérience extra-conjugale pour réveiller ma libido et la tienne. Si tu me voyais faire l’amour avec un autre homme, cela te redonnerait envie de la femme qu’un autre honore.
— Quoi. Sérieusement ? Tu veux faire l’amour avec un autre pour me remettre en appétit. Ouf ! C’est un remède de cheval ! Alors là, tu fais fort. Tu dis avoir réfléchi… Tu… réfléchis… une expérience extra-conjugale. C’est d’un drôle ! Et, si je comprends bien, je devrais y assister ? Pour m’exciter ! Tu me crois impuissant, tu veux réveiller ma libido. C’est une énormité, j’en… je…
— La proposition ne ...

... te convient pas, je m’y attendais un peu. Oublions. Surtout ne crois pas que je veuille être infidèle. Si je faisais l’amour devant toi, avec un homme apprécié de toi et de moi, ce ne serait pas un vulgaire adultère caché. Ce ne serait pas une tromperie, juste un moyen de relancer l’envie de se retrouver aussi amoureux qu’aux premiers temps de notre mariage. Imagine que dans notre lit je fasse l’amour avec un bel homme comme notre ami Robert. Ça ne te laisserait pas indifférent, j’espère.
— En plus avec Robert, un Robert prêt à renoncer au célibat, donc décidé à nous séparer : voilà le fromage ! (pensez à la fable).
— Le fromage ? Mon pauvre chéri, tu es tout retourné. Pardon, tu ne supportes pas ce début d’électrochoc. Je suis folle de te soumettre à un traitement aussi brutal : que vient faire ici « le fromage ? ».
— Remarque, je pourrais te choisir un boute-en-train plus neutre que ton Robert, un inconnu recruté dans la rue ou sur internet, un gars moins décidé à mettre fin à son célibat qu’à rendre ce service sans arrière-pensées. Car ce goût subit de Robert pour toi, son envie évidente de se lier à toi, fausse les données. Je préférerais un homme marié. Délivré d’une sorte de jalousie, sans la crainte de te voir partir avec ton collègue, le spectacle de ma femme unie charnellement à un autre homme me donnerait peut-être un coup de fouet. Permets-moi d’en douter.
— Oh ! Comme je m’en veux. N’en parlons plus. Ce soir, je vais me faire pardonner.

Toutes les vieilles ...