Quelques jours en Ophélie
Datte: 04/05/2020,
Catégories:
fh,
ff,
inconnu,
bain,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
hdanus,
hsodo,
portrait,
coupfoudr,
Auteur: Ophelie Martins, Source: Revebebe
... à tes moindres désirs.
— Wouaouh, quel programme ! Et tu crois que j’arriverai à combler les tiens ?
— Tu as intérêt, sinon je raconterai tout à ta femme, dit-elle en souriant.
— Tu as raison, j’aurai intérêt à assurer, alors. Dis, tu as vu l’heure ? Tu veux dormir ici et te lever de bonne heure ? Tu n’as plus que quelques heures selon l’heure à laquelle tu te lèves d’habitude.
— Il est déjà 2 h 30. Wouaouh ! C’est passé trop vite ! Je me lève à 7 h d’habitude, mais si je dors là je vais devoir me lever plus tôt.
— Reste, ça revient au même que tu te lèves plus tôt ou que tu rentres maintenant, ton temps pour dormir sera pratiquement le même, à moins que tu n’aies pas sommeil et que tu veuilles que l’on continue encore un peu à s’amuser ?
— T’es chou, mais toi aussi tu dois te lever tôt, alors on se fait un petit câlin tranquille et on s’endort.
Ce qui fut fait. Mon réveil sonna trop vite, il me semblait que je venais de m’endormir. Je réveillai Sandrine de bisous le long de sa colonne vertébrale. Elle gémit de la laisser encore dormir, se retourna et passant ses bras autour de mon cou, m’attira contre elle pour un doux baiser.
— Je prends d’abord la salle de bains, tu peux encore rester couchée.
En me regardant dans le miroir de la salle de bains je constatai que j’étais encore maquillée, il me fallut donc plus de temps que d’habitude pour être prêt à partir.
— Je pars, je te laisse une clé pour fermer la porte d’entrée, tu me la rendras ce soir. ...
... N’oublie pas, je t’attends en jupe ou avec une robe, et viens le plus vite possible.
Je lui fis un rapide bisou sur les lèvres et partis.
Elle me téléphona au travail, à midi.
— Je suis arrivée en retard ce matin à mon travail, parce que je suis d’abord passée chez moi pour me changer. Devine ce que j’ai mis ?
— Je ne sais pas, une minijupe et un top ?
— Nooon, tu as encore une chance, susurra-t-elle d’une voix câline
— Une robe et tu n’as rien mis dessous ?
— Tiens, j’aurais pu, c’est vrai, mais comme j’en ai pas l’habitude je ne l’ai pas fait. Mais j’ai mis une robe, c’est juste. Elle est sans manches, rouge feu, comme mes dessous, j’ai mis un tout petit string et un soutien-gorge push-up, tu aimes ?
— Bien sûr, avec ça maintenant je ne vais pas pouvoir travailler, et il faut que je me recule de mon bureau sinon il va se lever tout seul.
Je l’entendis partir d’un grand éclat de rire, à l’autre bout du fil.
— Garde tes forces pour ce soir, mon biquet, tu vas devoir allumer le feu. Mon feu.
Et elle murmura :
— Je te fais de tous gros bisous partout, et j’ai très envie de t’avoir dans ma bouche.
— Moi aussi, je t’embrasse tout partout, et là tu viens définitivement de me faire soulever mon bureau sans les mains. À ce soir, ma puce. Bisous, bisous.
Et je raccrochai. J’espérais ne pas devoir me lever de ma place dans les cinq prochaines minutes le temps de décompresser.
Je rentrai un peu plus vite du travail, car j’avais pas mal de choses à faire à la ...