Quelques jours en Ophélie - Histoires de Sexe

Quelques jours en Ophélie

... mouettes troublaient le silence. Je m’assoupis.

— Coucou, alors on fait une grasse matinée ?

Je me réveillais en sursaut, la jeune femme de la station d’essence était devant moi.

— Oups, oui, coucou, j’ai dû m’endormir un moment, c’est tellement calme ici.

J’inspectai ma tenue, rien de fâcheux ne dépassait, mes prothèses mammaires étaient bien en place, contenues entièrement dans les bonnets du soutien-gorge, et j’avais bien tendu mon string pour ne rien laisser paraître, tout était en ordre.

Je me redressais sur ma chaise.

— Vous êtes venue quand même ? Vous n’avez pas eu peur qu’il y ait des satyres tout nus, dis-je en riant.
— Non, je me suis dit que si nous étions deux, nous ne risquions rien, dit-elle tout en se déshabillant.

Elle avait aussi apporté une chaise longue presque identique à la mienne, elle y déposa aussi une serviette, ce qui me permit d’apprécier la vue de ses petites fesses rondes, moulées dans la culotte du bikini blanc qu’elle portait. Sa poitrine n’était pas très volumineuse et était presque cachée par les bonnets en corbeille de son soutien-gorge aux attaches normales.

— Tu veux bien me mettre un peu de crème solaire ? Ça ne te fait rien si on se tutoie ? Moi, c’est Sandrine, et toi ?
— Ophélie. Non ça ne me gêne pas au contraire. Donne-moi ta crème, je vais t’en mettre une bonne couche, bien que tu n’en aies pas trop besoin, tu es déjà très bronzée, tu reviens de vacances ?
— Oui, je suis allée deux semaines en Grèce, à ...

... Zakynthos, c’était super.
— J’ai déjà entendu parler de cet endroit, faudra que j’y aille une fois.

Elle s’était mise sur le ventre, je lui dégrafai le soutien-gorge et lui massai le dos avec la crème solaire. Elle avait la peau toute douce, sans aucune impureté, je prenais plaisir à m’y attarder la massant lentement.

— Uhm, c’est bon, tu as les mains douces, c’est très agréable de se faire masser comme ça.

Je descendis sur ses cuisses et ses jambes, d’un geste naturel avec ses deux mains elle rabattit sa culotte vers l’intérieur de ses fesses.

— Tu peux m’en mettre là aussi.

La vue de ces belles fesses rondes et le fait de les lui caresser commençaient à me mettre en émoi, je devais serrer mes jambes pour m’empêcher de prendre trop d’importance dans mon string. Je préférai ne pas trop m’attarder sur ses fesses et descendis mes mains sur ses jambes.

— Tu es déjà allée te baigner Ophélie ?
— Non, quand je suis arrivée, l’eau était encore trop froide, j’ai préféré attendre qu’elle se réchauffe un peu.
— Et si on y allait maintenant ?

Sur ces mots, elle se retourna, ce qui eut pour effet de faire tomber son soutien-gorge et de me donner une vue sur ses jolis petits seins biens ronds, haut perchés et tout exempts de bronzage ce qui faisait bien ressortir les larges aréoles et les tétons assez foncés. Elle n’en eut cure, se leva, déposa son soutien-gorge sur le transat et se dirigea vers l’eau d’une démarche chaloupée.

— Tu viens ? me demanda-t-elle en se ...