1. Cauchemar à la villa de campagne 03


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    Cette histoire, tirée de mes archives, a été écrite par Mefistho. Je le remercie de m'avoir autorisé à la publier ici.
    
    Avertissement : Ce récit n'est qu'une fiction sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation.
    
    Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.
    
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    Deux heures ont passé depuis le départ du métis et de ma sœur. Ses potes sont restés à la maison en attendant que d'autres gars arrivent pour participer à l'orgie prévue.
    
    Pour resituer la situation, mes parents ont acheté une maison de campagne pour les vacances dans le sud de la France. Elle est isolée, à une bonne dizaine de kilomètre du village le plus proche. Ma mère, ma sœur et moi avons précédé mon père d'une semaine afin d'aménager la maison pour passer les vacances. Des voleurs, déjà rencontrés près d'un lac, débarquent et en profitent pour violer ma sœur. Ma mère, au retour des courses, s'est faite violer également.
    
    Le métis, désirant profiter de ma sœur seul, s'est sauvé avec elle, en laissant les autres. Avant, il a appelé des potes pour faire la fête à la maison et surtout pour baiser ma mère.
    
    Depuis, ils m'ont libéré de ma chaise mais je n'en reste pas moins impuissant en assistant aux multiples humiliations que ces voyous lui font endurer. Elle est obligée de rester en bikini en subissant les ...
    ... pelotages incessants et les mains baladeuses des kidnappeurs. Entre-temps, ils l'ont forcée à se remaquiller et l'ont obligée à en rajouter une bonne couche, histoire qu'elle passe vraiment pour une salope.
    
    Jamais, je ne l'ai vu maquillée comme ça, elle, toujours discrète dans ses tenues, ne se permettant qu'en de rares occasions, des décolletés un peu osés.
    
    J'ai du mal à la reconnaître avec ce rouge à lèvres rose marquant fortement le contour de sa bouche, ses yeux noisette aux sourcils fins, avec un mascara vert. Elle a mis un léger fond de teint histoire de gommer une ou deux rides superflues. A 46 ans, elle a gardé un joli visage rond et presque sans aucune ride.
    
    Ils ont vidé la moitié des bouteilles achetées par ma mère. Ils sont bien éméchés mais se retiennent de profiter plus avant de ce corps de femme à leur merci. Ils se contentent de la tripoter ; surtout ses énormes seins et ses deux grosses fesses séparées par l'espèce de string bikini.
    
    Honteuse de subir cela devant moi, son propre fils, elle évite mon regard, comme si elle voulait m'ignorer.
    
    Le portable de maman, sonne : C'est Claude, mon père. L'un des gars se lève et sort son couteau. Ma mère comprend le message et fait de son mieux pour répondre. La discussion dure un quart d'heure et Isabelle lutte pour ne pas craquer. Elle reste le plus naturel possible. Mon père doit arriver en fin de semaine car il est resté garder la pharmacie avec la stagiaire pour la fin du mois.
    
    - Oui mon chéri, tout va bien ...
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