1. Histoire de Soumise-à-lui (10)


    Datte: 05/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: soumise72, Source: Xstory

    ... façon qu’elle ne puisse fermer ses jambes. Le maître passa sa main sur la chatte de la soumise qui était encore plus mouillée, il lui rentra facilement deux doigts dans son con, puis lui titilla le clito jusqu’aux prémices de la jouissance, là plus pervers que jamais, il lui dit :
    
    — Non ce n’est pas le moment ! Soumise.
    
    Un coup de cravache vint ponctuer ces mots, il était précis sur le clito de la soumise, encore un son de douleur, le maître continua, la soumise ne pouvait retenir des gémissements de douleur.
    
    Le maître posa la cravache, il passa à la badine, il recommença sur les fesses, de la soumise, quelques coups suffirent pour que les gémissements reprennent et deviennent de plus en plus fort, la soumise ne savait plus où il y avait une partie du haut de son corps qui ne lui fasse pas mal. Le maître continua, ce ne n’était pas les gémissements de la soumise qui commandaient les coups mais la couleur que prenaient ses fesses, le maître finit par les abandonner, il passa aux seins, il retira violemment les pinces, la soumise sentie que le maître les prenait et passait un élastique autour. Celui-ci recommença à taper sur les tétons, qui étaient très douloureux, des larmes coulèrent sur le visage de la soumise.
    
    — Pleure, tu pisseras moins !! Ponctua le maître
    
    Les coups redoublèrent et étaient de plus en plus forts, ainsi que les gémissements et les pleurs de la soumise. Le ...
    ... maître passa à la chatte qu’une fois les seins de la soumise marqués et bleus. La douleur était très vive, dès le premier coup la soumise ne put retenir des cris de douleur, là encore seules les zébrures sur sa chatte firent que le maître continua ou non. La soumise ne put contenir un : « non !! Assez » à peine audible à travers le bâillon que le maître n’entendit pas ou fit mine de ne pas entendre, la soumise dut crier « Assez !! » pour que le maître entende enfin, mais il ne cessa pas pour autant, il affirma son autorité :
    
    — C’est moi qui décide quand c’est assez !
    
    Une dizaine de coups tombèrent encore, puis finalement cessèrent. Le maître retira les élastiques de ses seins, le sang refluant sur eux fit crier la soumise de douleur, le maître les massa et la douleur passa.
    
    La chatte de la soumise était trempée, la cyprine coulait le long de ses cuisses et gouttait sur le plancher. Le maître lui détacha les chevilles puis les mains, lui retira le bâillon, fit mettre la soumise à genoux, et lui enfourna son vit dans la bouche, il la baisa comme un furieux, il passa derrière elle, lui retira le plug qui y était depuis le départ, et lui mit sa queue à la place, il lui défonça le cul, tout en titillant mon clito, n’y pouvant plus la soumise jouit, le maître retira sa queue de son cul, et gicla sa semence sur le visage de la soumise, elle s’écroula sur le sol, de douleur et de fatigue. 
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