Un coucou dans la Suite Nuptiale (1)
Datte: 03/05/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... l’homme tombe dans un sommeil de plomb et que sa femme, excitée et frustrée, rêvasse pour couper la lumière du bungalow et me glisser à l’intérieur.
Comme un coucou, je tirais le mari en bas du lit et le déposais précautionneusement sur l’épais tapis de laine pour pouvoir prendre sa place.
La jeune femme avait à peine vingt ans. C’était une rousse piquante aux yeux verts. Elle était tellement charmante et rosissante que je bandais à moitié en donnant la clé de la « Suite Nuptiale » au mari dont les yeux cernés et l’air las, étaient de bons augures.
Elle somnolait et n’avait rien remarqué. Je me collais contre elle comme j’aimais le faire depuis ma première fois. J’adorais le contact avec son petit corps brûlant. Après avoir sucé ses seins comme je savais qu’elle aimait, je lui écartais les cuisses pour lécher sa vulve parfumée et son bouton d’amour que ma recette au dosage étudié, faisait bander comme une petite bite, tout en chauffant le sang dans ses veines.
Elle leva les genoux en gémissant. C’était le moment que je préférais, celui où la femelle en chaleur offrait son ventre à féconder au mâle. Je me glissais sur elle, ouvris ses cuisses, les maintins avec mes bras et enfonçais doucement ma queue dans son vagin mouillé qui se révéla être l’un des plus étroits que j’ai possédé. J’étais aux anges.
Je savais qu’elle n’avait pas joui les deux nuits précédentes, son jeune mari venant trop vite. Je savourais la douce sensation de ma bite glissant dans ce petit ...
... con qui méritait qu’on s’y attarde.
Elle commença à gémir doucement puis comme j’accélérais un peu, elle haleta et poussa de longs petits cris aigus.
— Mon amour.. Mon amour… C’était comme une plainte.
Elle se cambra et poussa un profond soupir. Ses bras me serrèrent contre elle avec une force peu commune. Je la laissais savourer ce moment de plaisir puis recommençais à la pistonner. Lorsque le moment arriva, je m’enfonçais bien au fond de son ventre et jouis sans retenue.
Elle m’embrassa sur la bouche.
— Oh ! Comme je t’aime.. C’était fort !..
— Humm..
Je bandais encore lorsque je sortis de sa chatte gluante. Je reprenais discrètement mon souffle, allongée à côté d’elle, quand elle murmura.
— Je vais te faire... Tu sais... Ce que tu voulais et que je ne voulais pas...
Elle se coula sur mon ventre et emboucha ma queue. Elle était si maladroite que je devinais que c’était sa première fois. Ne pouvant prononcer un mot, je la guidais en la tenant par sa chevelure soyeuse. Lorsqu’elle comprit ce que je voulais, je saisis sa main et la portais sur mes couilles. Elle hésita puis les caressa. J’imposais un rythme plus rapide à ses caresses pour m’amener au seuil de la jouissance.
Je giclais dans sa bouche et l’obligeais à avaler en poussant mon gland dans sa gorge. Elle déglutit courageusement.
Je les regardais partir à la fin de la semaine, la main dans la main. Elle, ondulant des hanches, plus femme qu’à son arrivée et lui, plus fatigué. Cette petite ...