Mes débuts dans le commerce (2) - Histoires de Sexe

Mes débuts dans le commerce (2)

Salut c’est votre folle de lycra.

J’étais donc en train d’embrasser la femme du patron dans la réserve, après lui avoir fait une petite langue, j’étais en train de découvrir les plaisirs que pouvaient donner une femme. En fait j’étais en train de découvrir qu’il était très agréable de se soumettre à une femme. Élodie m’a avoué qu’elle était libertine, alors que moi j’étais encore puceau d’environ vingt-huit ans son benjamin. Après ce baiser plein de passion, j’étais sur mon nuage, je suis parti au lavabo me rincer la figure; ce n’était pas un luxe. Quand je suis revenu la patronne m’avait préparé un body manches longues en lycra qu’elle m’a demandé de mettre pour le lendemain. Manifestement vu les traces à l’entrejambe et l’odeur, elle l’avait porté récemment sans le laver avant de me le donner.

— Quand tu vas l’enfiler tu vas penser à moi et tu verras à chaque fois que tu le porteras, cela te fera de l’effet.

— Tu mets une chemise sombre et tu verras cela ne se verra pas.

— Je serais vraiment honorée que, désormais quand tu penses à moi, cela te fasse bander.

Cela m’a fait drôle, car je n’avais pas l’habitude qu’une femme me parle avec des mots aussi crus.

Je suis resté comme un idiot avec le body dans les mains à le regarder, je n’osais pas le porter à mon nez pour en humer l’odeur féminine, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manquait. À force de me regarder comme ça Élodie m’a dit

— Déshabille-toi et enfile le.

J’ai osé contester son ordre, ...

... mais je n’avais pas fait attention que sa voix était autoritaire et ferme; du coup je me suis pris une claque, histoire de me motiver à l’enfiler. J’ai fini à me déshabiller devant elle, bien évidemment j’avais une grosse érection, elle me caressait pendant que je m’effeuillais.

— Dorénavant quand tu viendras bosser, j’aimerais que tu sentes la femme, mais pas n’importe laquelle, que tu sentes moi.

— Je voudrais que tu sentes mon minou, je voudrais que ton corps ait l’odeur de ma sueur.

J’écoutais tout ce qu’elle me disait et je n’osais pas la contredire, le body m’allait à merveille, il mettait en valeur mes attributs. Il était très fin, bien moulant et j’étais en train de me dire que si elle continuait à me caresser le sexe, j’allais éjaculer dans ses mains ou plutôt dans son body.

En plus tu me caresser le sexe aujourd’hui, elle s’est mise à me caresser les fesses, la raie des fesses, à ma grande surprise j’ai découvert que j’adorais ses caresses.

— Voilà quelques jours tu étais innocent et coincé.

— Mais je te garantis que dans peu de temps tu ne vas penser qu’au sexe.

— Je vais te dévergonder et faire de toi un obsédé sexuel.

J’étais en train de boutonner ma chemise pendant que Élodie se chargeait de me fermer mon pantalon, personne ne pouvait voir que je portais son body à même le corps. Pour les experts, il y avait juste un indice, je sentais très fort la femme; heureusement que je ne prenais pas les transports en commun pour rentrer. Une fois ...