1. J’AI BIEN FAIT DE NE PAS PRENDRE L’AVION!


    Datte: 02/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... entrejambe, je porte un jean un peu moulant et je bande toujours. Quand je m’assois, elle explose d’un fou rire et une fois calmer me demande pardon en me disant que les vibrations du train on toujours cet effet sur elle.
    
    « Il n’y a pas à s’excuser, d’abord c’est un besoin naturel et en plus comme tu as pu le remarquer le spectacle m’a plu », je suis passé directement au tutoiement mais ça ne l’a pas dérangé puisqu’elle m’a répondu: « Oui j’ai bien vu ça même si j’ai pas pu autant admirer que toi! »
    
    En posant une main sur sa cuisse mais sous sa veste je lui dis à l’oreille en me penchant vers elle: « C’est rien ça, on peut y remédier » et je dépose un bisou dans son cou, puis un autre tout en remontant un peu plus ma main vers sa chatte. Une fois mon but atteint, je déplace mes lèvres sur les siennes en même temps que mes doigts caresse ses lèvres vaginales complètement trempées. Elle répond à mon baiser en aspirant ma langue. Je dépose un deuxième doigt contre son intimité, puis un troisième. Elle se remet à couler de plus belle. Alors que je commence à rentrer mes doigts en elle, elle attraper ma main au niveau du poignet, écarté un peu plus les jambes et enfonce elle même mes 3 doigts en elle, ça rentre comme dans du beurre. Elle fait faire à mes doigts quelques allers retours et les fait sortir et me dit: « Pas ici, viens avec moi ».
    
    Nous nous levons après nous être réajuster, avec mes mains je cache mon érection qui se voit toujours autant et je la suis. Je ...
    ... pensais qu’elle m’emmener dans un chiottes mais non, nous rentrons dans une pièce aussi petites que les toilettes d’un train mais avec seulement un lavabo, un miroir et une table à langer. Par contre il n’y a pas de verrous mais il suffit de bloquer la porte avec nos corps et le fait d’être peut être surpris rajoute de l’excitation.
    
    Une fois la porte fermée, elle m’embrasse à nouveau à pleine bouche, me caresse le torse et moi je plotte ses fesses. Puis je relâche l’étreinte et mes lèvres, je déboutonne son chemisier et défait son soutien gorge, elle m’enlève mon t-shirt. J’embrasse ses seins, ses tétons. Elle m’attrape les cheveux pour bien m’appuyer contre elle. Je lui mordille les tétons maintenant tout en lui caressant la moule qui arrête pas de couler. Au bout de 3 minutes de ce traitement, elle me décolle de sa poitrine et tout en ouvrant ma ceinture et mon jean, elle me dit: « Maintenant à toi! ». Elle fait tomber mon jean et mon boxer sur mes chevilles et me demande de m’assoir sur la table à langer, ce que je fais après m’être entièrement déshabiller. Elle commence par me caresser les couilles et lèche ma tige mais sans toucher à mon gland ni même à mon frein. Puis elle échange, me gobe une couille et me caresse la bite. Mais cette fois elle monte de plus en plus haut avec ses mains. Je suis tellement excite que j’ai du liquide qui coule du méat (je coule pas mal), quand mon liquide touche ses doigts, elle rattrape tout ce qu’elle peut avec ses doigts pour faire ...