La nouvelle vie de Marie (2) - Histoires de Sexe

La nouvelle vie de Marie (2)

... également qu’elle était nue. Mais où était-elle se demandait elle, pourquoi était-elle nue, pourquoi ne pouvait-elle pas bouger, toutes ces questions se bousculaient dans sa tête.

Au bout de quelques minutes, une lumière s’alluma directement orientée vers elle. Elle passait de l’obscurité la plus totale à l’aveuglement, elle essayait de détourner la tête mais elle ne pouvait pas. Elle comprit pourquoi quand elle s’aperçut qu’elle était attachée à un pilori. Mais pourquoi était-elle attachée comme ça. Elle essaya de regarder autour d’elle et elle ne vit que des murs en parpaing, le sol semblait couvert de carton. On dirait une cave, pensa-t-elle. Un réel sentiment de panique l’envahit. Elle était nue, attachée dans un endroit pareil ne sachant pas comment elle était arrivée là et surtout si la lumière était allumée, c’est qu’elle n’était pas seule.

Soudain, Marie sentit une main se poser sur sa fesse gauche. Elle sursauta, elle voulut crier mais aucun son ne sortit. Elle sentait cette main la caresser avec une grande douceur. Elle sentait le bout des doigts courir sur son corps, ils faisaient des tours sur sa fesse, puis remontait le long de son dos, pour redescendre ensuite par le même chemin et glisser le long de l’intérieur de sa cuisse jusqu’au genou puis remonter. Marie qui a toujours était très sensible au toucher, semblait peu à peu oublier sa panique et se laisser aller à cette agréable sensation que lui prodiguait son ravisseur.

Elle sentit alors le contact ...

... d’une deuxième main sur son corps. Les deux mains semblaient marcher de concert. Elles parcouraient son corps toujours de haut en bas de manière parfaitement symétrique. Ce traitement mettait Marie de plus en plus en transe. Son corps réclamait plus, elle sentait son sexe s’humidifier et chauffer de plus en plus. Elle sentait coulé sur ses cuisses le fruit de cette excitation alors que les mains de cet inconnu continuaient à parcourir son corps sans relâche.

De temps en temps, les mains quittaient son dos pour passer sur son ventre et remonter sur la poitrine, que son caresseur pinçait doucement pour ensuite remonter sur épaules et reprendre les allers-retours.

Marie était en feu, elle voulait plus, elle voulait qu’il là touche plus intimement car celui qui se tenait derrière elle prenait bien garde de ne jamais toucher son sexe qui pourtant n’attendait que ça. Il le frôlait, l’effleurait, mais jamais il ne le touchait vraiment. Marie le souffle le court n’en pouvait plus, rarement elle s’était sentie à ce point excitée, elle ne voulait qu’une chose maintenant être prise. Elle voulait sentir un sexe, n’importe lequel, en elle, elle voulait se sentir possédée, remplis d’une verge bien dure et bien viril. A chaque passage des mains sur son fessier, elle essayait tant bien que mal de bouger pour se placer sur le chemin des doigts espérant un contact de ceux-ci avec son sexe.

Mais la libération arriva enfin pour Marie. L’inconnu stoppa aussi soudainement qu’elles avaient ...