UNE TRANCHE DE VIE 8
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceron, Source: Hds
... retard, je sens B qui s’arrête de me pilonner et colle contre moi et se vide à grands coups.
Nous écroulons sur le lit. Après quelques minutes de relaxe, il revient à l’assaut, c’est les seins, le ventre, le sexe couverts de baisers et de nombreux coup de langue. Je vais à la recherche de son sexe et m’aperçois que la nature a fait son œuvre. C’est mou et sans vie. Je commence à le caresser à le parcourir avec le bout des doigts, puis je le prends en main. Je pense que si je veux l’utiliser encore, il me faut m’occuper de la chose avec un peu plus d’énergie, d’autant que j’en ai envie, j’ai envie qu’il me reprenne il m’a brutalisée, mais j’ai encore envie de le sentir me prendre. Alors que B avec sa bouche passe des seins au ventre et à ma chatte, je l’enjambe, mettant ma chatte à disposition de sa bouche ce qu’il entreprend avec frénésie et talent. Me léchant, me suçant, m’aspirant, moi prenant en bouche son sexe, je commence à le lécher, le sucer, le pomper, jusqu’à obtenir un pieu plus sérieux sur lequel, je m’empale avec plaisir. Décidant de ce fait de mener moi-même la cadence, ce qu’il semble accepter sans problème. La partie est agréable, son sexe a retrouvé une raideur intéressante et agréable à sentir en moi. Pendant que j’assure la cadence il me malaxe les siens, les fesses avec énergie, ce qui somme toute est agréable. Je sens que le plaisir est en train de le gagner ainsi qu’à moi, j’augmente la cadence et là il explose avant moi. J’ai un gentil orgasme moins ...
... brutal que le précédent, mais très agréable. Je me laisse tomber à ses cotés pour reprendre mes esprits. Le réveil sonne. Lui et moi faisons un bon de surprise.
B : Qu’est ce que c’est ?
Moi : Il est 5,00 heures, j’ai mis le réveil pour indiquer qu’il était temps de se séparer. Tu veux prendre une douche, moi j’en prends une, tu pourras en prendre une après ?
B refusa, à mon avis il avait tort, si sa femme avait le moindre nez sensible aux odeurs, elle s’apercevrait qu’il sentait l’amour, enfin, le sperme, mais surtout qu’il risquait d’avoir un léger flottement de mon parfum collé à sa peau.
Je prenais une douche. Je sortais fraiche et détendue. Je me refaisais une beauté, coiffure, maquillage, parfum, … et je me rhabillais, tout en défroissant ma robe. Je retournais dans la salle de séjour ou B s’était rhabillé.
B : « J’ai passé un excellent après midi, je te remercie et j’espère que l’on pourra se revoir. Il faut que je me sauve, je ne tiens pas à rencontrer Jean ».
Baisers tendres, mains baladeuses jusqu’à mon entrejambe et parti. Dans l’ensemble cela avait été agréable, un peu sauvage, un peu brutal, mais plaisant, par contre, il me fallait retrouver Jean qui avait assisté à toute la scène. Après avoir entendu le départ de la voiture, je m’installais dans la salle de séjour pour décompresser, me demandant comme Jean allait me recevoir. En fait j’étais un peu fébrile. Dix minutes s’étaient passées, il fallait que j’aille le voir. Il devait être dans son ...