Pulsion passion - Histoires de Sexe

Pulsion passion

... d’entre les lèvres de Jim. Je le regarde à la dérobée et mes jambes s’ouvrent presque sans mon consentement. Par chance, le trafic a bougé de quelques mètres, me sortant ainsi du rayonnement de l’éclairage public. Un clic se fait entendre et mes yeux se plissent. Jim vient d’allumer une torche électrique qu’il tend à son ami et complice.

— Poursuivons mon cher. Je vous gage que la culotte est noire.

Alex dirige aussitôt le faisceau entre mes cuisses.

— Perdu ! clame-t-il… Il n’y a rien du tout.
— Je vois que nous sommes en présence d’une vraie professionnelle. Pourquoi s’embarrasser de cette culotte qui fait perdre un temps précieux d’une passe à l’autre… ?!

Les hommes rient et mon mari poursuit sa "visite".

— Pourriez-vous ouvrir votre corsage, s’il vous plaît ?
— Alex, je t’en prie. Le chauffeur me regarde. Tu sais que je ne suis pas très exhibi…
— Tu vas nous montrer tes nichons, salope ! coupe sèchement Jim. Sinon, tu rentres à pied ! Dans cette tenue, je suis certain que tu ramèneras un paquet de fric à la maison.

Avant la fin de la phrase, mes doigts ont déjà fait sauter les boutons de ma blouse. Étrangement, j’éprouve de la gêne à m’exhiber ainsi devant mon propre époux. Celui-ci promène le rai de lumière d’une partie intime à l’autre, au grand plaisir de Max qui n’en perd pas une miette.

— Excitée ? Demande Jim.
— Difficile à dire. Elle a l’air d’avoir les tétons durcis, mais du côté de la figue, ce n’est pas encore très visible.

Il ne faut ...

... pas beaucoup de temps à Alex pour interpréter le sourire entendu de son patron.

— Caresse-toi !

Je tourne la tête vers Jim afin de vérifier si c’est bien ce qu’il désire, mais c’en est trop pour lui et sa colère explose. Il me saisit par les cheveux et me jette en bas du siège.

— Notre invitée est un peu trop rebelle ! gronde-t-il, elle n’a pas encore compris que toi et moi avons loué ses charmes et ses services. Il est temps que je la reprenne en mains.

Un peu hébétée, je veux me relever mais il me repousse du pied.

— Reste au pied, petite conne ! Et fous-toi à quatre pattes ! On a payé pour une pute, pas pour une connasse effarouchée.

Cette nouvelle tournure fait tomber toute forme de résistance face à cette image que je cherche sottement mais malgré moi à conserver, surtout face à mon mari. En quelques secondes à peine, me voici telle que je suis.

— Redresse la tête et cambre les reins.

Du pied, il rabat sur mon dos la jupe qui dissimulait déjà si mal mes fesses. Le bout de son mocassin tapote ma vulve sans trop de ménagement.

— Et maintenant Alex, qu’en est-il de son excitation ?

Mon mari braque la torche sur mon sexe.

— Ah ça ! Tu parles d’un changement ! La femelle entre dans sa période de rut…
— Haha… Délicieuse métaphore, mon ami.

Puis, se penchant sur moi.

— Tu entends ça, la putain ? Une femelle en rut. Tu te donnes des airs de femme du monde, mais tu n’es qu’une femelle en chaleur, assoiffée de vice.

Son pied frappe alors ...