Mademoiselle Pute
Datte: 30/04/2020,
Catégories:
Première fois
Hardcore,
Inceste / Tabou
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... »
« Tu te masturbes en les regardant ? »
« Si elles me plaisent, oui. »
« Il n’y a rien de plus naturel, répondit Paul. Est-ce que mes questions te choquent ? »
« Non. Je suis juste étonnée. »
« Je comprends, dit-il. Les filles qui viennent ici s’attendent toutes à poser de façon académique devant un objectif, en suivant mes instructions, mais tout ceci m’ennuie profondément. Cela dit, si tu le souhaites, on peut en rester là. Je te rémunèrerai pour une heure néanmoins. »
Avant de répondre, j’ai pris une longue gorgée de bière.
De temps à autre, je jetais un œil vers la petite caméra, en me demandant combien de filles s’étaient assises dans ce canapé avant moi, et si elles avaient toutes accepté de discuter de cette façon avec cet homme.
Je le trouvais sympa. Il ne me mettait pas mal à l’aise. J’avais même un peu l’impression de discuter avec quelqu’un que je connaissais. Pas un ami intime, bien sûr, mais disons une vague connaissance. Ou un inconnu que j’aurais rencontré dans un bar de nuit. Ou un prof de fac.
J’avais couché avec un prof, une fois, mais à l’époque du lycée.
Et j’ignore avec combien d’inconnus rencontrés dans des bars j’avais eu l’occasion de baiser. J’avais 19 ans, et pas du tout l’intention de me mettre en couple avec quiconque. Je voulais profiter de ma jeunesse, ou plutôt de la vie, tout simplement.
J’ai répondu à Paul :
« Je veux bien continuer. »
Sur ces mots, il a vidé sa bière cul sec, puis il m’a dit :
« ...
... Dans ce cas, enlève ton pantalon, rapproche-toi du bord du canapé et ouvre bien tes cuisses pendant qu’on discute. J’ai envie de voir ta chatte.
Je m’épilais au maillot. Je n’avais jamais vraiment eu envie de me raser complètement, malgré que ce soit dans l’air du temps. Plusieurs de mes copines le faisaient, nous en avions parlé ensemble. Mais moi j’aimais bien ma pilosité. Mon corps était ainsi. La nature m’avait faite de cette façon. J’avais des poils châtains, assez fins.
À quoi bon contredire la nature ?
Pour se plier aux tendances d’une époque ?
Pour satisfaire le plaisir de ceux qui se soumettent à cette tendance ?
Non merci.
Je me suis levée et j’ai baissé mon pantalon. Je l’ai enlevé, plié et déposé à ma gauche sur le canapé, puis je me suis rassise au bord, les cuisses ouvertes afin que Paul voie bien ma toison.
Il m’a dit :
« Tu as vraiment une belle chatte. »
Je me sentais assez bien. D’autant que les bières me détendaient. Il m’en a toujours fallu peu pour me détendre. Deux verres, puis hop, je me sentais légère comme une plume. Ce n’était pas encore le cas ce soir-là, mais Paul me semblait être une aimable personne.
Je l’ai remercié pour le compliment, puis il a dit :
« Es-tu choquée par les mots crus ? »
J’ai retourné deux fois la question dans mon esprit, puis j’ai dit :
« Non. »
Les mots n’étaient rien, c’était de l’air, même si tout dépendait toujours du contexte. Coincée au milieu de la nuit dans une impasse par un ...