Honteuse, désorientée... mais de plus en plus épanouie !
Datte: 30/04/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
gymnastiqu,
sport,
voiture,
Oral
Auteur: Virginie84, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent (17952) :
Moi, c’est V., 23 ans, jeune femme dynamique et pétillante, follement amoureuse de mon chéri J., militaire actuellement en mission à l’étranger. Je fréquente assidûment depuis plusieurs semaines une salle de sport ouverte il y a peu dans ma ville.Et malgré tout mon amour pour mon chéri et le peu de considération que j’ai pour tous ces mecs adeptes de la "gonflette", je finis par succomber à une pulsion et au corps joliment dessiné d’un maghrébin dans les vestiaires, sans même savoir son prénom.Un rapport court et intense qui m’a plongée dans un profond désarroi…
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Honteuse, je ne suis pas retournée à la salle de sport les deux semaines suivantes…
Longtemps je me suis demandé si je devais dire la vérité à J., mon chéri, actuellement en mission à l’étranger, au cours de nos échanges de courriels ou de nos quelques conversations téléphoniques. Mais j’ai fini par faire le choix de la lâcheté, ou de l’omission si l’on peut dire ainsi.
Me cachant derrière le prétexte qu’il y a si peu de probabilités pour qu’il apprenne quoi que ce soit de toute façon, donc autant le préserver… Oui c’est lâche, je le reconnais.
Mon chéri avait l’air en forme, content de sa mission, de se sentir utile, et sa satisfaction me rassurait, même si son affection et sa présence me manquaient terriblement aussi. J’aurais tant donné pour qu’il soit là et me serre fort dans ses bras ! Encore 5 à 8 semaines et il sera enfin de ...
... retour…
Il ne m’a jamais caché son goût pour son métier ; je ne peux donc pas me permettre de le lui reprocher ! Je l’ai accepté tel qu’il est, en connaissance de cause ; tant pis pour moi, faut assumer maintenant ! J’ai repris peu à peu mon train-train, parvenant à mettre le souvenir de cet "écart" plus ou moins de côté. Le boulot, mes amies, ma famille… J’ai même fini par retourner à la salle…
Mon cœur battait à tue-tête en franchissant la porte vitrée automatique ; je m’étais mis en tête que les regards se braqueraient sur moi, que des rires éclateraient et qu’on me montrerait du doigt… Mais rien de tout ça : la seule personne à m’accoster a été le moniteur qui m’a demandé comment ça allait et si mon programme me convenait toujours ; même lui ne s’est pas rendu compte de mes deux semaines d’absence !
Et ce qui m’a permis de totalement me rassurer, c’est de constater que mon "éphèbe" n’était pas présent… ouuuf ! J’ai donc repris mon programme, le sourire aux lèvres : elliptique, step, gainage… Puis douche.
Curieuse sensation de me retrouver sur le lieu du "crime". Personne n’est là. Mon cœur se met à battre intensément… Est-ce pour remuer le couteau dans la plaie que je choisis la même cabine de douche que la dernière fois ? Je n’en sais rien. Mais cette fois-ci je ne m’éternise pas. La douche est rapidement prise et je regagne rapidement ma voiture puis notre appartement.
Le soir venu, avachie dans notre canapé devant la télé, je ne cesse de me demander ce que ...