Job d'été
Datte: 30/04/2020,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
sauna,
hotel,
Masturbation
massage,
confession,
Auteur: Clara2, Source: Revebebe
... côtés. Je rentrai tout de même dedans et reçus de plein fouet l’eau sur mon corps. Soudain je sursautai en sentant un jaillissement d’eau sous mes fesses. D’abord surprise, je me retirai mais, prise de curiosité, je retournai m’asseoir dessus. Oh quelle surprise et quelle douce caresse soudaine… je trouvai là un bon moyen de continuer mes instants de plaisirs. Je jouai comme une jeune adolescente découvrant les sensations encore inconnues de son corps. Prise d’une frénésie soudaine, je me pris à essayer chaque sortie d’eau. Tantôt les jambes écartées et dandinant mes hanches d’avant en arrière pour faire heurter l’eau sur toute mon intimité, tantôt à quatre pattes et approchant mes fesses au plus près de ces cascades bienfaitrices. De petits gloussements se mêlaient au bruit de ces geysers d’eau, prenant petit à petit de l’ampleur jusqu’à les dépasser en intensité. Je me laissais aller à des cris indécents car submergée par le plaisir. C’était comme si des dizaines de doigts se délectaient de mes chairs intimes. Je les imaginais dans cette pénombre me pénétrer et profiter de mon corps ainsi offert à leur lubricité. Je les voyais maintenant, oui, des hommes virils, musclés, imberbes, comme tout droit sortis d’un défilé de bodybuilders ! Moi sur eux, et eux s’occupant de ma personne, comme jamais auparavant. J’étais comme au paradis.
Un véritable hurlement déferla dans la pièce, complètement sous les effets du plaisir. Je repris mes esprits difficilement, mais j’eus peur ...
... que l’on ne m’ait entendue et, prise par la frayeur, je sortis du jacuzzi les jambes flageolantes, la tête tournoyante. Saisissant mon peignoir au passage, je me mis à courir en sortant précipitamment. Arrivée à la porte menant au couloir de l’étage, je réalisai que je n’avais pas vidé le jacuzzi et j’entendais même le bruit de l’eau couler encore. J’essayai de me calmer et n’entendant pas âme qui vive dans les parages, j’y retournai pour effacer les traces de mon égarement.
Arrivée dans ma chambre, je poussai un ouf de soulagement, enfin rassurée de me retrouver dans mon petit cocon. J’ôtai mon peignoir et me couchai ainsi, toute nue dans mon lit. Malgré la fatigue, j’eus du mal à trouver le sommeil en me posant mille questions sur ce qui venait de se passer dans le spa. Je ne m’étais pas du tout contrôlée, mon corps avait parlé et c’est lui qui avait pris le dessus. Cette situation était inédite et la peur s’insinua en moi de voir que je ne contrôlais pas toujours la situation, que parfois le corps était plus fort que tout. Mais jusqu’où cela pourrait-il me mener ? J’étais perplexe et dubitative. J’avais été spectatrice de mon état, comme sous l’emprise d’une autre personne. C’est ainsi, l’esprit bousculé, que je trouvai enfin le sommeil très tard ce soir-là.
Le lendemain matin, je me réveillai juste avant le hurlement du réveil et je n’eus aucune difficulté à m’extirper de mon lit. Je me sentais bien, aucune douleur, alors que les jours précédents je ressentais des ...