1. Paradise Girl


    Datte: 29/04/2020, Catégories: fh, inconnu, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Morodar, Source: Revebebe

    ... lumière. Elle est si proche que je n’ai qu’à tendre la main pour la toucher. Mes doigts effleurent alors une peau satinée et chaude, ainsi que les contours d’un… sein, rond et ferme. Puis je sens des doigts fins et brûlants venir caresser mon visage, suivre la courbe de mon cou et descendre sur mon torse. Des lèvres, douces et humides, viennent déposer un baiser gourmand sur ma bouche.
    
    Aussitôt, mon esprit s’emballe, ma peau s’électrise et mon sang se met à bouillir. Je prends dans mes mains en coupe ces lourdes mamelles. Je me mets à les caresser, les malaxer, les presser et les soupeser sans retenue, jouant avec les tétons que je sens durcir sous mes doigts. L’être de lumière que je caresse pousse un petit rire, d’une voix musicale absolument parfaite, pure. Mon cœur chavire en l’entendant soupirer sous mes mains. Qui est-elle ? Aucune idée, et je m’en fous. Dans mon esprit, plus rien n’a d’importance hormis mon envie de me retrouver en elle. Je plaque avec impatience mon corps contre sa chair lumineuse, sentant sa peau satinée et ardente réchauffer la mienne. Elle a une odeur subtile, comme celle de l’air après un orage, qui m’envoûte. Je capture ses lèvres avec ma bouche et elle me rend sans attendre un baiser vorace qui me foudroie l’âme. Je glisse mes mains sur sa nuque, puis mes doigts ne tardent pas à remonter jusque dans sa crinière, que je sens légère, abondante et diablement douce. Elle plaque alors son bassin contre le mien, son bas-ventre frottant ...
    ... délicieusement contre ma monumentale érection. Elle enroule ensuite ses jambes autour de ma taille et mes mains descendent instinctivement jusqu’à ses fesses.
    
    Alors, sans hésiter, elle s’empale sur mon membre durci. Je pousse un hoquet de stupeur, car elle est aussi brûlante qu’un four, et si étroite que j’en ai le souffle coupé. Qu’elle soit humide à la perfection me surprend tout autant. Ma lumineuse compagne lâche un long et profond râle quand je me retrouve tout entier en elle, son souffle chaud caressant mon cou. Sa bouche trouve vite son chemin jusqu’à la mienne et elle m’embrasse goulûment, tout en commençant avec douceur à monter et descendre le long de ma verge. Je glisse ma langue entre ses lèvres pour aller caresser la sienne, pendant que mes mains pétrissent ses fesses rondes et tièdes. À chacun de ses mouvements de bassin, elle semble m’envoyer dans les veines une vague de félicité qui m’arrache un gémissement de jouissance, étouffé par la bouche de mon étrange amante. Nos lèvres semblent soudées et nos langues lancées dans un ballet sans fin, lascif et divin.
    
    Alors que mon plaisir monte de plus en plus vers le paroxysme, je réalise que le néant autour de nous se modifie avec lenteur. Je constate que je suis étendu sur une matière lisse, tiède mais inégale, comme des dalles. Autour de nous s’élèvent des murs de pierre blanche. Il y a même un soleil qui surgit dans un ciel clair, au-dessus de nous. Apparemment, nous faisons l’amour dans une vaste cour ceinturée. ...