1. Chronique d'Alicia


    Datte: 28/04/2020, Catégories: ff, jeunes, copains, fête, collection, amour, confession, portrait, Auteur: Bozo, Source: Revebebe

    Je m’appelle Alicia, j’ai une trentaine d’années. J’ai toujours été très portée sur le cul. J’ai découvert ça assez tard, en comparaison de certaines de mes copines, mais ça a vite été une quête permanente. Et je dois avouer que ça a vite aussi marché pas trop mal : à tout juste vingt berges, j’avais déjà couché avec plus de quatre-vingt garçons !
    
    Je crois que j’avais des arguments qui ne les laissaient pas insensibles, les mecs. Les copains de mon frère disaient que j’avais une bouche à pipe, un cul qui dit "viens ! ", une poitrine "à tomber par terre", et qu’en plus j’étais mignonne ! Ça m’a toujours amusée, moi, de les provoquer en roulant du derrière devant eux ou en réajustant mes seins juste sous leurs nez.
    
    Quatre-vingt et quelques garçons, donc ; la plupart, c’était des copains ou des copains de copains, que j’avais rencontrés en soirée, dans les plans qu’on faisait avec les anciens du lycée. On était une bonne bande de copains-copines, et on s’était pas perdus de vue, même lorsque la plupart étaient à la fac. Et puis les autres, je les avais rencontrés en boîte de nuit, ou encore sur la plage, l’été. N’importe, toutes les occasions étaient bonnes pour draguer et chauffer un peu les mecs…
    
    Quatre-vingt garçons, et quelques filles, aussi ; ça m’est arrivé plusieurs fois de me retrouver à délirer avec une ou deux copines, à jouer à se caresser un peu ensemble. Mais ça, c’était juste pour m’amuser. C’était pas franchement ce que je recherchais, mais des fois, ...
    ... quand même, c’était bien.
    
    La première fois, c’était assez curieux, presque impulsif. On était à une soirée, y avait de la musique ; on avait dansé comme des furies pendant un long moment, mais c’était le moment des slows. On attendait que les garçons nous invitent, mais ces blaireaux étaient complètement défoncés. Et comme ils ne paraissaient plus se soucier de nous, avec Mathilda, une copine, on a décidé de danser toutes les deux ensemble un slow.
    
    Au début, c’était vraiment pour s’occuper, mais je sais pas franchement pourquoi, peut-être que nous aussi on était un peu défoncées, mais on s’est mises à danser toutes collées l’une à l’autre et à se déhancher avec excès. Et les yeux avides des mecs qui nous mataient bêtement ont dû ajouter à l’ambiance. On a fini par se rouler une grosse pelle. Tout le monde autour nous regardait en hallucinant. Il y a eu une sorte d’acclamation générale. Je me souviens qu’on s’est souri et qu’on a continué, qu’on s’est roulé plein de gros palots en se frottant l’une à l’autre avec suggestion. Mais on a fini par se prendre à notre jeu ; c’est Mathilda la première qui a glissé ses mains dans mon jean, sur mes fesses. Et je sentais ses seins presser contre les miens. Ça m’excitait. Curieusement, différemment, mais ça m’excitait vraiment grave !
    
    Quand le slow s’est arrêté, y a eu comme un flottement dans la salle ; une trentaine de personnes nous regardaient en silence, se demandant jusqu’où on irait. Et nous on était toutes connes, au beau ...
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