Majorettes, Flic et triple-foyer - Histoires de Sexe

Majorettes, Flic et triple-foyer

... punie. Mes cris de plaisirs mêlés de douce souffrance résonnent quand il me pince les tétons ou me défonce le cul violemment. Ma sexualité a faite de moi une chienne salope et perverse. Souvent attachée, fessée, pincée, tel est mon bon plaisir et le bon plaisir de mon maître. Personne autour de moi ne connais mon secret, pas même mon mari… Car, oui j'ai oublié de préciser, mon maître n'est point mon mari, il en serait bien incapable le pauvre ! Mon maître est le voisin d'en face, celui que critique tant mon époux parce qu'il pense que c'est un bon à rien… S'il savait comme il est bon pour baiser sa femme !

Chapitre 5 – TRIPLE-FOYER,

Sans mes lunettes à triple foyer, je n'y vois pas grand-chose ! Celles-ci ne sont pas très élégantes mais je ne peu m'en passer. Plus jeune, j'étais complexée d'avoir ces grosses lunettes qui me mangeaient le visage. Pourtant j'étais et je suis toujours très jolie et bien foutue au dire des garçons. Petit à petit au fil des ans, j'ai appris à les accepter et je leur ai même trouvé une utilité inattendu : depuis que je suis à la fac, je me suis décoincée et me suis mise à avoir des relations avec des garçons. J'ai adorée de plus en plus ça au point de fréquenter les clubs de partouzes… Et comme j'aime par-dessus tout recevoir la semence de mes amants par la figure, mes lunettes me permettent de me protéger les yeux. Elles me permettent aussi et surtout d'avoir la possibilité de garder les yeux ouverts quand je reçois mes douches de sperme adorées…