1. Sensation


    Datte: 27/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Kjalimero, Source: xHamster

    ... macule de salive, je bois la tienne.
    
    Puis d'un coup je te relache en entier, et tu retombes brutalement contre le matelas. Je me positionne derrière toi, t'attrappe par les cheveux et te pénètre d'un seule et long coup jusqu'à la garde. Une main fait pression sur ton bassin pour te garder plaquée au lit et de l'autre je tire tes cheveux vers moi exposer ton visage aveugle vers le ciel. Je commence à faire des vas et viens dans tes entrailles tandis que mon souffle court sur ton visage. Je te leche le front.
    
    Ma main dans tes cheveux se déplace de nouveau sur ta gorge, mais cette fois plus haut vers la mâchoire et un de mes doigts entre dans ta bouche. Tu sens des coups de boutoir de plus en plus violent contre tes fesses, les vibrations se propagent sur tes chairs faisant comme des vagues qui se transforment ta respiration en gémissement dès qu'elles arrivent à ton buste.
    
    Au moment où tu commence à perdre tes sens j'arrête tout et je me retire. Quelques secondes s'écoules, tu es immobile comme une poupée à terre un peu désarticulée, dégoulinante.
    
    Installée sur le dos, je place des coussins une nouvelle fois sous ton bassin pour t'exposer, élever ton intimité comme si elle était en cet instant plus importante que toi. Une main s'empare d'une de tes chevilles et écarte au maximum tes jambes, la maintenant vers le haut.
    
    Je te pénètre d'un trait ...
    ... l'autre main retrouvant le chemin de ta gorge. Tu es écartelée entre mes bras, le cou enfoncé dans le matelas une jambe en l'air et tu reçois des coups de bassin de plus en plus fort. Tes seins sautent en tout sens sous mes assauts contre ton corps, je frappe si fort que tu ne controle même plus tes membres sous les ondes de chocs, tu arrives à respirer mais à peine.
    
    Je te crache au visage, puis de la langue j'étale la salive. Je t'embrasse goulûment, je te fait un cuni mais à tes lèvres du haut. Je t'ordonne de tirer la langue pour m'en emparer à son tour.
    
    Ton horizon s'amenuise peu à peu, tu perds conscience de certaines parties de toi. Tu te réduis à un vagin en train de se faire battre les intérieurs autour de cuisses étirées à en rompre et à une bouche qui ne t'appartiens plus.
    
    Et tout accélère. Tu n'es plus qu'un pantin désarticulé dont la seule raison d'être est ce mélange de sensations, de v******e et de plaisir, tu es abandonnée à moi, un objet, réduite à la plus simple expression de ton désir. Tu n'es plus rien que la seule chose qui t'importe en cet instant, comme si tu n'étais faites que pour ça, ne désirais que ça. Tu es celle qui reçoit tout le sexe que je veux lui mettre. Tu bouges comme je te fais faire, tu respires comme j'en ai envie, et tu te fais besogner et remplir jusqu'à déborder d'orgasmes et de sensations obscures mêlées. 
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