De surprise en surprise
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
sm,
init,
Auteur: Domibec, Source: Revebebe
... un homme, c’est pour le faire bander encore plus, l’accompagner dans sa montée du plaisir. Là, au contraire, malgré ses caresses, le sexe perd de sa superbe, se dégonfle, se rapetisse, se ratatine… Elle continue tant que Wilfried ne lui demande pas d’arrêter…
— Ça va. Nettoyez maintenant le sexe de Mademoiselle Anne !
Elle monte sur le lit, se glisse entre les jambes d’Anne et plonge son visage vers le sexe. Elle lèche d’abord les lèvres dégoulinantes du sperme que Wilfried y a laissé… Elle plonge sa langue au plus profond qu’elle peut, aspire, suce, lèche…
Wilfried se lève et va dans la salle de bain.
— Continuez jusqu’à ce que je vous le dise…
Elle entend l’eau de la douche. Elle profite qu’il ne soit plus là pour caresser les seins d’Anne tout en continuant de la lécher, ses fesses, ses cuisses… Anne lui caresse les mains là où elles se trouvent, sa tête… Elles ne disent rien. Goûtent l’instant. Y trouvent un certain plaisir.
Wilfried ressort de la salle de bain vêtu d’un peignoir.
— Allez vous doucher toutes les deux. Dans cinq minutes, vous êtes en bas.
Léa ose :
— Vous pouvez me rendre ma robe ?
Wilfried la fixe du regard, ne répond rien. Et il sort.
— Quel goujat ! Il pourrait au moins me répondre…
— Calme-toi, Léa. On l’a voulu. Il veut qu’on reste nue tant qu’on est dans la maison. Tout à l’heure, vous allez sortir et il te la donnera, ta robe. Et tu verras, ce n’est pas désagréable de se promener nue.
Elles filent sous la douche. ...
... Pas le temps de s’offrir des caresses. Elles font vite, se sèchent et descendent, nues…
Elles trouvent Wilfried dans la cuisine. Il est habillé d’un pantalon clair et d’une chemisette. Il se met entre elles deux et leur met à chacune une claque sur leurs fesses, claque qui se veut affectueuse mais qui n’en est pas moins violente…
— Allez, les filles. Déjeunez copieusement, il est déjà tard. Mademoiselle Léa, nous partons dans une heure !
Et il sort, une tasse de café à la main. Les deux femmes s’installent à la table. Il y a là du jus d’orange, de la charcuterie, du fromage, du beurre, de la confiture, du miel, du lait, des céréales, différentes sortes de petits pains, du thé et du café…
— Profites-en bien, Léa. Tu risques de ne pas beaucoup manger de la journée. Et tu vas avoir besoin de forces…
— Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il va me faire ?
— Je ne sais pas. Et je ne peux rien te dire, il veut t’en faire la surprise. Il y aura des choses agréables. D’autres qui risquent de te faire peur. Mais rappelle-toi qu’il ne te veut pas de mal. Laisse-toi aller… Prends les choses comme elles viennent…
Elles mangent en silence. Léa se force un peu parce qu’elle a tout de même un peu l’estomac noué par l’angoisse.
— Mademoiselle Léa. Enfilez votre robe que voici. On y va.
— Bien, Monsieur.
— Et vous, Mademoiselle Anne, restez ici. Marc et Christine m’ont demandé s’ils pouvaient jouer avec vous aujourd’hui et j’ai dit oui. Ils vont venir dans un instant.
Anne pousse ...