Dorothée (1) - Histoires de Sexe

Dorothée (1)

Dorothée 1

Ce jour-là j’étais à la plage où j’ai un chalet ; minimum de confort : coin pour se changer, toilettes, coin cuisine et coin rangement, pour le reste on vit sur le sable, un transat un bouquin un casque sur les oreilles avec de la bonne musique, et ce qui ne gâche rien, des voisins agréables je dirai plutôt des amis.

Ce jour-là disais-je, j’étais déjà sur le sable et je lisais mon journal, et je n’avais pas entendu arriver la fille aînée de mes voisins, elle me tape sur l’épaule et surpris je me lève pour lui faire la bise.

Elle est seule elle a trois enfants déjà grands il faut dire qu’elle a la quarantaine et qu’elle pourrait être ma fille tout comme sa sœur Marion jeune fille chaude comme la braise que j’ai eu l’occasion de me faire. (voir Marion 1 2 3)

— les enfants ne sont pas avec toi ?

— non ils sont avec les copains et copines, mes parents ne viennent pas aujourd’hui et j’ai oublié la clé du chalet, je peux me changer dans ton chalet, et profiter du parasol ?

Bien sûr, il y a des porte manteaux derrière le rideau, vas-y j’installe le parasol.

Et pendant qu’elle se change, je plante le parasol. Elle sort rapidement de derrière le rideau, avec un bikini plutôt court, je dirai deux tailles en dessous, elle était déjà arrivée avec une robe courte, mais là il y a plus de ficelle que de tissus je me dis, et pour calmer mon sexe qui se réveille, je lui propose un café, et je rentre dans le chalet pour préparer ça !!!

Pendant ce temps elle ...

... se couche sur le ventre en me tournant le dos et j’ai une vue splendide sur ses fesses, ce qui n’est pas fait pour calmer mon érection.

Je lui apporte son café, et tandis qu’elle se relève j’ai une vue inimaginable sur sa poitrine, petite certes mais les deux triangles de tissus ont bien du mal à cacher ces deux jolis fruits, ce qui ne fait rien pour diminuer la tension dans mon short, heureusement que je ne suis pas en caleçon de bain, la queue serait déjà dehors.

Ne pouvant reprendre ma place sur le transat, dans cet état, je prends l’excuse d’aller aux toilettes pour essayer de reprendre mes esprits.

Passé le rideau, mon regard tombe sur une petite culotte en dentelle suspendu au porte manteau juste sous mon nez, et là la petite chose en dentelle fini dans ma main, et je respire à plein nez les douces effluves féminines qui parfument l’entre jambe, doux mélange de transpiration et de cyprine avec une touche d’urine, je renifle ça comme pour la dégustation d’un bon vin.

Soudain la voix de Dorothée me ramène à la réalité -ça va ? ton café va être froid !!!!!

Oui ça va j’arrive. Je repose à regret l’objet et je repars tenir compagnie à Dorothée.

Derrière mes lunettes de soleil j’en profite durant toute l’après-midi pour me rincer l’œil en faisant semblant de lire mon bouquin.

L’après-midi se passe ainsi je n’ai pas lu grand-chose j’ai beaucoup regardé, et j’ai eu du mal à tenir une conversation avec Dorothée.

Elle me demande l’heure

17 heures

Je ...