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Carine et son peintre 2/3
Datte: 26/04/2020, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: swingtd, Source: xHamster
... exerçant une pression inédite et troublante sur mes parois anales. Aucun mot ne sort de ma bouche grande ouverte. Il me met ainsi au supplice pendant plus d’une minute avant de finalement sortir de moi. — Il est temps de passer aux choses sérieuses. D’une main puissante autour du cou, il m’entraîne dans la cabine de couche. Il allume le jet et mon souffle se coupe sous l’afflux d’eau froide. Me tenant toujours par le cou, il me force à me cambrer en avant et m’appuyer sur le carrelage pour reprendre une position similaire à celle devant le lavabo. Je sens alors ses doigts visiter mon sillon fessier qu’il frotte avec toute l’eau qu’il récupère. — Aïe ! Son majeur vient de forcer mon anus et cette fois-ci a fait tout son chemin directement. Même cette fois-ci, au lieu de fouiller l’intérieur de mon anus, il se met à faire des va-et-vient sous mes râles de douleurs. Il me doigte ainsi de longues minutes quand je sens soudain son index venir se joindre à son majeur. Cette nouvelle intronisation est douloureuse. J’ai pourtant encore plus honte de moi en constatant la facilité avec laquelle je me retrouve avec deux doigts entièrement enfoncés en moi. Quand je sens son annulaire venir se présenter à l’entrée de mon anus, je suis pris d’un moment de panique. — Non, s’il vous plaît, pas trois doigts. — Oh, mais je suis bien obligé, sans ça, je vais te déchirer le cul avec ma bite. Et me voilà bientôt avec trois doigts entre les fesses. Il me fouille de ...
... nouveau avec intensités. J’ai une sensation de vide quand ses trois doigts quittent mon anus. — Un beau cul de salope comme je les aime : bien ouverts. Je n’ose imaginer la vue qu’il a de moi. Comment peut-il prendre du plaisir à reluquer ainsi l’intérieur de mon corps ? — Oh ! Un frisson vient de remonter du creux de mes reins en sentant non pas ses doigts, mais sa langue s’insinuer dans mon anus. Les deux mains fermement enfoncées dans mes fesses qu’ils tirent pour les ouvrir, il me lèche l’intérieur du cul. Il enfonce sa langue aussi loin qu’il le peut, je le sens, son visage est écrasé sur moi. Ce pervers me lèche le cul comme si c’était une chatte. Si la sensation me semble aussi dégradante qu’avec ses doigts, elle est aussi complètement différente. La force et la douleur ont laissé place à une douceur extrême et inédite. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir éprouver de telles sensations par là. Je ferme précipitamment la bouche pour retenir un léger soupir. Ce salaud est en train de me donner du plaisir et il s’en est rendu compte, car il redouble d’efforts et sa langue se transforme en véritable tourbillon. Quand il m’abandonne enfin, j’ai les jambes qui flageolent. Cette sensation de vide entre mes fesses ne dure pas, car il crochète une fois de plus mon anus avec trois doigts. Sa main libre vient s’enrouler dans mes cheveux et me tire vers le bas jusqu’à son sexe dressé. — Suce-moi ! Montre-moi ce que tu as retenu d’hier. J’ouvre mes lèvres et ...