1. La véritable initiation du jeune Mâle Dominant. 1 (3)


    Datte: 25/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... salopes ! Gare... Je vais cracher !
    
    A ces mots, Lucie colle ses lèvres à ma prune Violette, descend d’un cran pour faire disparaître le gland. Je ne peux plus retenir un orgasme ineffable, indicible, perdant le contact avec la réalité en me vidant dans sa bouche. Finalement, je rouvre les yeux pour voir mes cousines s’embrasser à pleine bouche. Je savais bien que c’était des petites vicieuses ! Mais tant que c’est moi qui en profite !!!
    
    Je suis à plat et tante Martine vient à mon secours dans un grand éclat de rire:
    
    — C’est tout pour aujourd’hui... Il faut le laisser récupérer si vous voulez qu’il tienne le coup jusqu’à la fin des vacances !
    
    Les jumelles ne me lâchent plus. Déjà, il n’est plus question que je mette un maillot pour la piscine, j’ai essayé, mais ces deux folles ont tôt fait de me l’enlever alors au diable la pudibonderie et le regard des voisins proches... De toute façon, ils doivent être habitués à voir ce qui se passe autour de la piscine.
    
    Le summum de leur perversité a été atteint deux jours après, quand Apolline a invité un gars, Paul, qui lui court après depuis quelque temps et qui avait assez de « couilles » pour accepter de pavaner à poil autour de la piscine.
    
    Elles m’ont demandé de me planquer le temps qu’il prenne ses aises autour du bassin.
    
    Comme pour moi, elles l’ont aguiché complètement nues et il n’a pas résisté. Il fait presque vingt centimètres de plus que moi, baraqué, très musclé et je comprends que les filles aiment se ...
    ... pavaner à côté d’un tel Apollon.
    
    Pendant qu’il nage, je viens m’étendre à plat ventre sur une serviette de bain et fais semblant de dormir.
    
    Paul sort de l’eau, Lucie s’approche de lui et lui empoigne les couilles en les malaxant avec sa main droite.
    
    La sensation doit être extraordinaire pour lui et je prends conscience du pouvoir qu’une femme peut exercer sur un mâle, car il se met à bander. Sa sœur vient lui prêter main-forte et Paul se retrouve très vite en pleine érection, mais les filles se mettent à papoter entre elles comme s’il était sourd :
    
    — Je suis déçue Lucie, annonce sa jumelle, avec un tel corps, j’attendais de voir une belle bite, mais là !
    
    — Qu’est-ce que tu croyais ? lui rétorque Lucie, il est correctement monté ! Tu t’es fait une idée complètement déformée par la comparaison avec Claude. C’est lui qui n’est pas normal !
    
    — Mais qu’est-ce que vous racontez les filles ? Jamais une fille ne s’est plainte que je sois mal équipé, et qui est ce Claude ?
    
    — C’est notre cousin, lui répond Lucie en me désignant du doigt.
    
    — Quoi ? Cette demi-portion ! s’exclame Paul.
    
    — Retourne-toi Claude, m’ordonne Apolline.
    
    Je me retourne donc, le petit jeu des filles a commencé à faire son effet et un début d’érection gonfle ma verge.
    
    — Lève-toi et viens te mettre à côté de Paul, s’il te plaît, déclare Lucie.
    
    Je lui obéis et je dois dire que je fais petit garçon à côté de lui, que je voudrais être baraqué comme lui...
    
    — Peuh ! D’accord, il a une ...