Libertinages (1) - Histoires de Sexe

Libertinages (1)

... immédiatement remplacé par un autre qui rentre comme dans du beurre vu la lubrification toute fraîche.

Cette fois-ci, Sébastien n’a même plus pris la peine de s’arrêter et le nouveau venu doit prendre le train en marche, ce qu’il fait avec brio.

Et ça baise, et ça pompe, et ça encule ... Et le public est ravi et le fait savoir. En effet, ça applaudit, ça siffle, ça fait des commentaires. Il y en a même qui font des paris sur la durée supposée de notre coït.

Sébastien semble insatiable. J’ai déjà dû en user quatre ou cinq à l’étage, certains ont giclé, d’autre pas, mais lui n’est toujours pas venu.

Tout autour de nous, les couples se sont formés et commencent à se faire du bien ce qui a dégagé un peu de place autour de nous.

Sébastien en profite pour écarter les jambes au maximum. Ça lui donne plus d’appui au sol et cela, combiné au fait que l’appartement du haut n’est plus occupé, il peut pousser son membre encore plus fort.

Moi, depuis un bon moment, je joui en permanence mais là, je commence à être épuisée et à avoir mal au pubis.

— Seb, pour l’amour du ciel, ne te retiens plus et viens le plus vite ...

... possible car je ne vais plus tenir le coup longtemps.

Et, comme s’il n’attendait que ça, il pousse un grognement sourd et me lâche toute la purée au fond du ventre. Ça gicle par longue saccades brûlantes et ça me remplit tout le vagin ... et même plus puisque ça sort de tous les côtés !

Puis, il retombe comme mort, les bras en croix. Il a l’air complètement anéanti, son énorme engin encore planté en moi.

Je me retire doucement. Lorsque son sexe quitte le mien, je m’attends à bruit genre "bouchon de champagne" mais non. Par contre, c’est un bruit mouillé que j’entends et pour cause. Je sens un flot de sperme couler hors de mon vagin et se répandre sur l’intérieur de mes cuisses.

Quelle aventure ! J’en suis encore toute retournée. Je me redresse et regarde autour de moi. Maintenant que nos ébats sont terminés, plus personne ne prête attention à nous et j’en profite pour retourner près du bar. Je ramasse mes vêtements qui trainent encore par terre, j’en fais une boule et la confie à Paco, le barman, qui me connaît bien.

Puis je me réinstalle sur mon tabouret haut dans le but de récupérer un peu.