Hommage à la femme mûre
Datte: 25/04/2020,
Catégories:
fh,
cérébral,
revede,
Oral
pénétratio,
uro,
poésie,
Auteur: Lacan, Source: Revebebe
... blanches et semblant plus nues et intimes en hiver,
Belles et merveilleuses cuisses de femme,
Fermes et douces devant,
Si souples et érotiques sous la main derrière,
Passée coquinement sous la jupe, remontant au-dessus du nylon des bas,
Pour sentir alors la douceur et la tiédeur de la chair offerte,
De désir me font rêver tes fesses que j’adore,
Que j’aime déjà sentir rebondies sous mes mains quand tu es habillée,
Fermes et emprisonnées dans un pantalon,
Ou bien plus souples déjà sous la jupe,
Surtout si tu les abandonnes docile à ma caresse,
Si tu laisses mes mains en pétrir les intimes rondeurs,
Que j’aime encore mieux sentir nues sous mes doigts excités,
Glissés sous la culotte de dentelles coquines,
Caressant la peau blanche et doucereuse,
Explorant la consistance si particulière de ces objets de désir,
Jusqu’à sentir sous mes doigts le creux intime de ta raie,
Où viennent se rejoindre ces deux joues rebondies,
Disparaissant alors dans le mystère irrésistible de ce sillon qu’on devine,
Dans lequel on voudrait glisser des doigts coquins,
Pour mieux en explorer les promesses incertaines,
Les intimités cachées, les plaisirs interdits,
Belle Cochonne
De désir me fait rêver ton petit orifice secret,
Qui se cache coquinement entre tes jolies fesses,
Au cœur de ta raie intime que j’aime nettoyer avec ma langue
Quand je l’ai souillée des sécrétions de mon désir de mâle,
Belles fesses que j’aime ...
... écarter, indécentes,
Pour découvrir les replis de la fleur brune et plissée de ton anus,
Que j’adore sentir sous mes doigts quand sur moi tu es couchée,
Que j’aime d’autant plus d’abord effleurer de ma langue coquine,
Puis lécher avec gourmandise,
Pour en sentir les replis très intimes,
Depuis que tu m’as avoué que cette coquinerie parfois te plaisait,
Belle Cochonne
De désir me fait rêver ton triangle magique, ta toison, ta chatoune,
Tes poils de femme, ce buisson bouclé châtain,
Doré au soleil l’été, contrastant avec ton ventre blanc l’hiver,
Triangle taillé comme un jardin à la française dès le printemps,
Plus luxuriant pour presque déborder des dentelles l’hiver,
Que la main qui descend le long de ton ventre lisse rencontre avec délices,
Dans lequel mes doigts se perdent, jouant avec ces boucles intimes,
Dans lequel j’aime plonger mon visage entier,
Que j’aime sentir friser contre ma bouche,
Coiffer avec ma langue, peigner avec mes dents,
Brouter comme une salade frisée,
Sucer à pleine bouche gourmande,
Dont je fantasme qu’en été tu l’exhibes aux regards dans une crique naturiste,
Que tu l’offres comme tes seins à la vue des désirs masculins et même lesbiens,
Triangle magique, buisson intime dont j’ai seul la jouissance,
Mais dont la vue par d’autres me fantasme l’esprit,
De désir me fait rêver ton petit jet chaud,
Que certains appellent la douche dorée,
Qui te soulage entre tes cuisses,
Et que ...