Mauvais jour : une fessée bien méritée
Datte: 25/04/2020,
Catégories:
ffh,
voisins,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fsodo,
sm,
fouetfesse,
couple+f,
fsoumisah,
Auteur: Jacques Soenen, Source: Revebebe
... nue, allongée au sol, le cul relevé. Elle a marqué au feutre rouge, sur ses fesses le mot «pardon ».
Mais l’effet produit est inverse. Julien en est encore plus furieux.
— Quoi, tu crois que c’est à toi de décider de ta sanction ! Tu m’as gâché toute ma journée et tu voudrais t’en sortir comme ça ! Va te rhabiller ; nettoie-moi cette inscription stupide, file dans la chambre, tu n’en sortiras que quand je te le dirai.
Elle l’entend qui se douche. Elle l’entend se rapprocher de la porte de la chambre.
— Allez Virginie, rejoins-moi au salon, vêtue de tes seuls dessous, dit-il d’une voix calme.
Ce qu’elle fait au plus vite. Elle s’excuse platement.
— Allons, c’est passé, mais nous n’allons pas attendre le 22 pour te punir, surtout que l’on est que le 5.
Elle est d’accord. Ce sera une grande punition.
— Bien ! Place-toi devant la table. Penche ton buste sur le plateau de la table, les bras allongés dans le prolongement du corps, les mains bien à plat et impassible, comme d’habitude, quoiqu’il arrive.
Julien se place derrière elle, lui flatte les fesses et baisse légèrement son slip rouge à pois jaune, juste sous les fesses. Il glisse sa main sur sa fente.
— Déjà ouverte et humide. Ta correction sera plus sévère encore.
Il vient avec des glaçons, les passe sur son dos, sous le soutif, entre les omoplates, elle se raidit aussitôt. Elle tressaille à chaque nouvelle zone atteinte. Il lui en caresse les aisselles puis la chatte.
Sur le cul nu, les ...
... claques volent. Elle se contracte, il lui ordonne de détendre ses fesses. Il la claque, les chairs ballottent.
— Parfait, tu vois que tu sais te détendre.
Il reprend sa pluie de claques, elle est proche des larmes. Il s’arrête, il sait qu’elle va lui faire sa gâterie préférée. Agenouillée à ses pieds, elle avale en entier son sexe à demi bandé ; elle est assez bonne en fellation. Même si elle n’avale pas complètement, elle sait ajuster ses lèvres à la croissance de la hampe. Elle lui lèche les couilles aussi ; elle adore ça. Celles de Julien sont épilées, soyeuse comme du velours. Elle les avale avant de revenir à la hampe maintenant bien bandée, elle le fera gicler sur son visage.
On sonne. C’est plutôt rare. Ils n’ont pas envie d’ouvrir. Si, il faut y aller, c’est peut-être Justinienne, leur vieille voisine. Julien remonte son pantalon et va ouvrir. En fait de vieille dame, c’est une jeune fille enrubannée d’une longue écharpe qui se présente. C’est Céline, l’étudiante qui habite au-dessus. Le couple l’avait croisée.
— Excusez-moi monsieur, peut-être pourriez-vous m’aider, je suis en panne d’électricité.
Julien accepte de monter et de jeter un œil. C’est en fait le disjoncteur qui a sauté, pas étonnant avec tous les appareils qui sont branchés sur la multiprise ; le chauffage à bain d’huile, la machine à laver.
— Ça devait sauter, et de plus, c’est dangereux.
Julien a vite fait de débrancher les prises et de remettre le courant. La jeune Céline ne sait ...