1. Amline , déboires et fantaisies


    Datte: 04/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jundu, Source: Hds

    ... caressait les pectoraux aussi doucement que le vent balançait les feuilles des arbres. Son sexe se remplit très vite , comme une baudruche sous l’ effet d’un compresseur. Elle l’ aurai sentit comme viande chaude prête à etre servie mais démentit. Le garçon voulut cacher l’ excroissance mais tant pis , la femme nue ce matin , qui n’ y pensait peut etre plus aurait malgré lui ce petit spectacle sous ses yeux hagards, elle les baisserait et le prendrait pour un pervers. Au contraire Amline resta sans rien dire. Son cœur battait dans cet après-midi de victimes recluse ballotée entre angoisse existentielle et peur de l’avenir . Ca tamponnait, et rudement, dans le cœur de la jeune femme qui s’écroulait sous le poids de l’ épreuve mais qui bravait la fatalité sous les ailes du désir grandissant, qu’ elle ne se refusait plus de d’ ignorer , pour le jeune Simon qui dans son attitude respectueuse accepta volontiers de profiter d’ une situation incommode. Ce n’était pas réellement son motif mais toutefois beau et digne il parvenait à remuer et à apprivoiser la conscience de son amie dans l’unique but qu’ elle trouve du répit.
    
    Il venait de trouver comment faire. Elle, si quiète en ces minutes lourdes de paix et de sérénité. Logique se disait- t-il après un couillon violent, un brave l’est facilement. Il suffisait de placer un gars un peu candide à côté d’ un tyran pour savoir à qui adjuger le prix Nobel de la paix . Puis il fit une trêve dans sa pensée.Qu’ était-il lui après tout, ...
    ... il n’ en savait rien, pas un gars qui s’ en prend aux filles en tout cas , ni le premier à manquer de bonnes manières quand il s’ agit de s’adresser aux femmes. Yundel ,son collègue, lui avait donnait exemple et puis bon, le travail c’était mardi prochain, pas au beau milieu de ce samedi craquant.
    
    Il n’ avait pas débandé. Le serpent qui sentait la présence de sa dresseuse écoutait pulser le sang.
    
    Amline bougea la tête vers celle de Simon . Elle lui dit :
    
    - Ça va ? Tu te sens bien ?
    
    -Oui merci , on ne peut mieux , je me sens vraiment bien et toi ?
    
    -Oui, fit elle en lui jetant un regard vague, l’expression perdue derrière un monceau de vérités . comme l’ envie de la chair , une complicité vierge ou une provocation malicieuse .
    
    Elle ne le lâcha pas du regard et glissa sa main gauche jusqu’à la bosse de l’entre- jambe qu’ elle se mit à caresser à pleine main. L’érection durcit et il embrassa timidement la bouche décrispée de son amoureuse. Elle se redressa, abandonna la bite de Simon mais l’embrassa franchement, son buste chaud contre le sien. Elle écarta les jambes pour évacuer la chaleur qui s’y était concentrée.
    
    Elle l’ emmena dans sa chambre. Elle y rentra la première et ouvra la fenêtre. Le rideau blanc , se joignait à cet infime souffle qui fuyait entre les feuillages, les pièces ouvertes et les cheveux d’Amline qui sentaient toujours bon le shampoing de Simon qui , embarrassé , ne cessait de regarder Amline sans savoir quoi dire ni quoi faire . Il s’ ...
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