1. Amline , déboires et fantaisies


    Datte: 04/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jundu, Source: Hds

    ... chamboulé.
    
    -Tu as bien dormis ? lui demanda-t-il.
    
    -Oui comme un bébé, ça fait longtemps que ça m’était arrivé.
    
    Le jolie cul rose et ferme de la jeune femme l’envoutait . Elle se retourna et posa des bols en lui ouvrant la vue sur ses seins ronds et fabuleux. Elle se redressa et vit que Simon l’ avait dévoré du regard, il dormait même dans sa chair, et fut prise d’ une envie furieuse de se mettre nue pour qu’il lui enfonce sa belle quille bien tendue.
    
    Simon espérait qu’elle ne remarque pas le renflement sous la table.
    
    Elle servit le petit dej et s’ assis en face de lui.
    
    -Merci pour cette nuit dit -elle.
    
    - Y a pas de quoi, ça me fait plaisir.
    
    Le sourire de la jeune femme n’eut pas d’égal.
    
    Elle croqua dans la biscotte, la dévora, engloutit le bol de thé sucré et le rinça sous l’ eau froide du robinet. Si rien ne l’ empêchait elle baisserait sa culotte rose et lui affichant la couleur de son frétillant petit trou dilaté afin qu’il trouve la voie à emprunter , tout guilleret qu’ il fut , irrésistible ramoneur infatigable et compatissant . Au lieu d’aller au bout de ses pensées elle fit claquer l’élastique de son sous-vêtement en y glissant le doigt et procéda par l’ interrogation de son beta Simon pour aller se doucher, puis ,elle aviserait si l’ homme la ferai partir d’ ici , elle rentrerait chez elle élucubrer un prochain plan de chasse.
    
    Dans la salle de bain , elle déféqua, s’essuya et poussa le pressoir. Elle se brossa les dents avec la brosse à ...
    ... dents de Simon, de manière inconsciente comme si ce petit ami petit était son petit frère et rinça sa bouche , avant de se mettre nue. Elle ébouriffa ses cheveux et fit une tête des mauvais jour devant la glace et s’écœurait toute seule dans le prélude d’une déprime qu’ elle épongerait dans des cocktails qu’ elle n’apprécierait pas , qu’ un succédant pauvre type lui ferait avaler dans le seul objectif de lui montrer un nouvel engin et ses boules. Elle soupira de désarroi, frotta son minou pour sentir sa consistance puis avec une peine plus forte que sa pudeur elle décolla le pansement qui recouvrait la plaie séchée d’où un fil dépassait au-dessus du sourcil gauche . Une haine particulière parcourra son esprit de jeune dame, dans la remémoration de sa vie et le visage de sa mère qui dans un souvenir inquisiteur , la disputait comme à une enfant qui a cherché les ennuis . Puis non, sa mère , Jacqueline , ne mettrait pour une fois pas sa grande sœur Christelle sur un pied d’estalle , elle défendrait la petite avec justice et amour franc, maternelle et pleine de chaleur humaine et de solution. Lundi au boulot elle expliquerait que le connard cette fois avait atteint une cruauté sans nom et qu’ avec les actes de violence qu’ elle venait d’ essuyer , on la retrouverait au diapason le restant de sa vie, avec sa mère et d’autres femmes révoltées. Que ce genre de violence arrive encore et sans s’y attendre était intolérable , autant que de connaitre une telle chose . Les femmes battues ...
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