1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (3)


    Datte: 24/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut, c’est votre folle de lycra.
    
    J’étais donc en train de baiser Patricia en pleine nature, pas bien loin de notre centre de formation. Je culpabilisais, car j’étais vraiment en train de tromper ma femme, mais ma partenaire en l’occurrence ma patronne était vraiment un coup d’enfer. Vu que Patricia avait une robe assez longue et que j’étais en elle, je me suis permis de l’allonger sur le capot de la voiture. Là, je peux vous garantir que je me suis déchaîné, avec pour seuls compagnons ou témoins, comme vous voulez, les oiseaux en tout genre qui avaient l’air de m’encourager à lui faire du bien. Puis elle s’est mise à pousser des cris monstrueux, c’est là que je me suis dit que nous avions de la chance de ne pas être à l’hôtel. Je me suis approché pour l’embrasser, mais en fait, elle s’est mise à me mordre les lèvres, cela était douloureux, mais elle réussissait à m’exciter encore plus ainsi.
    
    C’était amusant, car j’arrivais à me déconcentrer en donnant de profonds coups de reins en ma partenaire, et la voiture bougeait quelque peu. Tout comme Patricia, j’ai fini par prendre mon pied et je me suis littéralement vidé dans ses entrailles, elle avait l’air très heureuse que nous prenions notre pied simultanément.
    
    J’ai continué un petit peu avant que mes attributs reprennent une dimension normale, finalement, c’est la fraîcheur et l’humidité qui ont eu raison de notre rapport sexuel ce soir-là. Nous sommes rentrés à l’hôtel encore plus amoureux, mais dans ma tête, ...
    ... c’était un peu le bazar, car il y avait aussi une place pour ma femme.
    
    — Vu que tu aimes porter des dessous féminins, j’aimerais que dorénavant, tu portes mes culottes souillées de cyprine et qui sait peut-être, avec un peu de ta liqueur aussi.
    
    Le programme n’était pas pour me déplaire, mais je me demandais comment j’allais pouvoir gérer ça en rentrant à la maison, avec mon épouse.
    
    — Je me doute bien que tu te demandes comment tu vas gérer ça avec ta femme. Je vais t’avouer que j’ai aperçu ta femme à plusieurs reprises et qu’elle est très belle et très désirable, il serait bête que tu la quittes, mais je veux que tu me partages avec elle.
    
    Patricia avait le mérite de ne pas tourner autour du pot, mais je me me retrouvais confronté à un problème que beaucoup d’hommes infidèles connaissent.
    
    Nous avons bien profité de la fin de soirée, il n’y a pas à dire, il y avait quelque chose qui était en train de naître entre nous. Même si au fond de moi, je savais que ce n’était pas correct vis-à-vis de ma femme, je me laissais aller à cette douce sensation qu’est un amour naissant. Nous nous sommes endormis, enlacés dans les bras l’un de l’autre, mon érection bien calée entre ses fesses et elle, bien lovée entre mes bras. Au petit matin comme la veille, j’ai été réveillé par une magnifique fellation, il n’y a pas à dire, Patricia adorait mon sexe. Rapidement, elle s’est mise à me caresser les fesses, elle savait très bien que j’en étais très sensible. J’aimais toutes les ...
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