1. Le lounge du porte-jarretelles


    Datte: 24/04/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... vraiment difficile : le tissu du soutien-gorge de Nicole est tellement fin qu’Eléanore peut aisément saisir les pointes.
    
    — Eléanore, s’il te plaît, n’importe qui peut entrer dans le bureau et…
    — Oh oui, dites-moi "tu", je… ça me trouble, je… j’ai vérifié, dans les couloirs, tout le monde est parti.
    — Tout le monde ? réplique Nicole en riant. Impossible, il est trop tôt.
    — Il reste bien la vieille acariâtre de la compta, le directeur technique et Patrick.
    — Ah oui, Patrick… tiens donc ! Et… tu attends qu’il vienne nous voir ?
    — Pourquoi pas ?
    
    Eléanore se courbe et pose ses lèvres sur celles de Nicole, force la bouche à s’ouvrir. Les langues se cherchent, s’enroulent, Nicole gémit ; le baiser s’éternise… La jeune femme infiltre ses doigts dans le chemisier, les glisse sous le fin tissu du soutien-gorge et empaume les gros seins déjà durcis par l’excitation. Reprenant son souffle, Nicole fait pivoter son fauteuil pour être face à Eléanore, la regarde :
    
    — Tu es terrible ! Je ne devrais pas me laisser faire, et pourtant…
    — Nicole, vous ne vous laissez pas faire, vous participez !
    
    Alors Eléanore passe les mains sous sa jupe, baisse sa culotte, la retire et la pose sur le plateau du bureau.
    
    — Je suis toute mouillée ! Tenez, vérifiez…
    
    Elle repasse la main sous sa jupe, glisse un doigt dans sa fente, le ressort et le colle contre les lèvres de Nicole.
    
    — Vous voyez : je mouille comme une cochonne. Ça sent fort, n’est-ce pas ? Je mouille à cause de vous, ...
    ... Nicole ! Dites-moi que vous n’aimez pas ça.
    — Tu crois que je reste de marbre avec tes bêtises ? Embrasse-moi encore, idiote !
    
    Le baiser reprend, plus fougueux. Eléanore en profite pour remonter le tee-shirt de Nicole.
    
    — Eléanore, pas ça ! N’importe qui pourrait entrer… Ça suffit maintenant !
    
    Eléanore comprend qu’elle va trop loin.
    
    — Bon, OK, j’arrête. Savez-vous que le boss adore vos seins ? Il emploie le mot "nichons" quand il parle de vos seins, "les gros nichons de Nicole". Vous vous êtes régalée vendredi soir ?
    — Comment ? Mais… comment sais-tu ça ?
    — Oh… parfois nous correspondons un peu par mail. Vous savez, il vous aime beaucoup. Il m’a dit que vous êtes terriblement excitante, et un… très bon coup !
    — Quoi ? Un bon coup ! Mais je ne suis pas ce genre de femme qui…
    — Ne le prenez pas mal : vous lui plaisez, il passe son temps à louer vos compétences, il est prévenant, et… il ne vous a jamais forcée, n’est-ce pas ? C’est un pervers, bien sûr, mais un bon pervers. Vous et moi, nous adorons ce qu’il nous fait faire, vous ne pouvez pas le nier.
    
    Nicole baisse la tête, abasourdie d’apprendre qu’Eléanore est au courant de la soirée de vendredi dernier.« J’espère qu’il ne lui a pas donné de détails… Les salauds ! Ils… ils… ils sont complices ! »
    
    Il est maintenant 18 heures. Le travail terminé, Nicole s’étire, les bras tendus vers le plafond, le torse bombé. Sa pensée dérive vers la soirée qui se profile.« Qu’est-ce qui va m’arriver ? Bon, c’est vrai que je ...
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