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Prise devant mon mec (8)
Datte: 24/04/2020, Catégories: Trash, Auteur: donico, Source: Xstory
... c’était assister sans réagir à ma déchéance. Et à celle d’Alexia. Mes pensées ont rapidement été balayées par la violence du coït buccal que m’imposait Nabil. J’avais de plus en plus l’impression d’étouffer et il me besognait si fort que je me demandais s’il ne finirait pas par me blesser. Que se passerait-il si quelqu’un arrivait maintenant ? Heureusement, je n’ai pas eu à me poser la question très longtemps : Nabil a commencé à hurler des obscénités de plus en plus fort, signe qui chez lui indiquait immanquablement un orgasme en gestation. — Je vais démonter Alexia devant toi, petite salope ! Elle pourra plus jamais se contenter de ta petite bite maintenant ! Je ne pouvais rien répondre, mais de toute façon il n’y avait rien à répondre. Ce jeu de dominant lui plaisait, soit. Je l’avais de toute façon accepté en revenant vers lui la queue entre les jambes. Soudain, les jets de sperme ont commencé à jaillir avec une puissance incroyable. Les premiers m’ont tapissé la gorge en m’étouffant à moitié, moi qui avait déjà du mal à respirer avec sa grosse bite dans la bouche, puis les suivants m’ont rempli la bouche. J’avais beau ne pas ...
... en aimer le goût ni la texture, j’avais beaucoup rêvé de son sperme pendant la nuit dernière. Pourtant, j’avais été tellement malmené durant les dernières minutes que je n’appréciais plus rien du tout. J’étais son sextoy, un objet dont il ne prenait d’ailleurs pas un grand soin. Je n’avais désormais plus qu’une envie : me blottir contre Alexia et oublier toute cette histoire. Mais c’était impossible, Nabil me tenait ! Il s’est retiré de ma bouche avec un sourire mauvais, puis il a ri quand je me suis effondré sur le sol en crachant les torrents de sperme que j’étais bien incapable d’avaler. Tout en faisant mon maximum pour dégager mes voies respiratoires de la vaste quantité de liquide poisseux qui l’encombrait, je poussais des râles de noyé pour essayer de faire parvenir de nouveau de l’air dans mes poumons. Quand il a jugé que j’avais récupéré le strict minimum d’oxygène nécessaire à ma survie, Nabil m’a ordonné de lui nettoyer la tige, ce que j’ai fait sans protester. Il l’a ensuite rentrée dans son pantalon, puis il m’a gratifié d’une petite tape sur le crâne. — A bientôt avec Lexie ! a-t-il lancé en s’éloignant déjà. J’étais anéanti.