1. Fin de soirée au Sauna


    Datte: 24/04/2020, Catégories: ff, fhhh, grp, couple, extraoffre, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, échange, Auteur: L'Homme de M, Source: Revebebe

    ... Ouiiiii…
    
    Claude écarte la tenture de satin noir, ouvre la porte privée de Sodome et Gomorrhe. Nous nous empressons de le suivre, en enfilade. Sylviane nous suit des yeux avec un petit regard envieux.
    
    C’est une pièce plus longue que large, cinq mètres sur sept maximum, toute tapissée de satin rouge vif. Deux tables recouvertes de velours noir encadrent la porte. Au centre résident, trois fauteuils de forme particulière, disposés côte à côte. On dirait un S à plat. Jamais je n’ai vu ce genre de mobilier (il me faut sortir plus souvent !). Sur leur gauche, un petit buffet sur lequel trônent divers objets que je ne distingue pas bien, compte tenu de l’éclairage tamisé. Au fond près de la cloison, deux canapés se font face.
    
    Sans perdre de temps ni s’occuper davantage de nous, Sophie prend la main de Jean-Louis et l’emmène, en tortillant des fesses, jusqu’au fauteuil central. Elle le prend par le cou et l’embrasse fiévreusement. Les « hostilités » vont, visiblement, commencer. Sans autre concertation, Claude prend M dans ses bras et va la déposer sur le fauteuil de droite.
    
    — Bon, ma Véro, puisqu’ils nous laissent le choix, on prend celui de gauche ?
    — C’est moi qu’il faut prendre, mon chéri, pas le fauteuil… allez viens, peu importe le lieu, seule l’ivresse compte et je crois être légèrement grisée… à nous les agapes… Regarde, mon beau, ils font comme si nous n’étions pas là, regarde-les se peloter ces petits vicieux.
    
    En deux secondes, Véro a ôté le peignoir qui ...
    ... l’encombrait. Toute nue, elle se colle à moi, m’embrasse fougueusement. Sa langue perfore le rempart de mes lèvres, écarte mes dents et part à la recherche de la mienne. Nous mélangeons nos salives, nos langues se cherchent, se palpent, se lèchent, s’aspirent. Véro, de ses mains expertes, défait le nœud qui faisait tenir ma serviette autour de mes hanches. Laissant ma bouche elle s’accroupit et prend ma verge dressée dans sa main, la flatte, la soupèse, la comprime et la branle doucement tout en me l’insérant dans sa bouche. Mes mains se posent de chaque côté de son visage, je caresse ses joues, ses cheveux… je ne peux m’empêcher de prendre sa nuque et d’appliquer sa bouche contre mon ventre pour me sentir jusqu’au fond de sa gorge. Je prends le temps d’apprécier cette caresse buccale puis la fais se relever, je l’allonge sur notre fauteuil, je m’agenouille, l’embrasse furtivement et mes lèvres glissent jusqu’entre ses seins. Je lape ses deux gros globes sensibles, les lèche, les mordille, les suce, contourne de la pointe ses aréoles brunes. Ses tétons se redressent sous mon souffle, ils enflent, durcissent lorsque je les pince entre mes lèvres, encore plus lorsque je les mordille de mes incisives. Mes mains parcourent les contours de cette poitrine durcie par l’excitation, puis descendent jusqu’à son ventre, s’égarent sur les hanches et remontent sur les seins. Je la tète, comme un nourrisson, jusqu’à plus soif, jusqu’à ce que l’aspiration lui rende les mamelons douloureux lui ...
«12...333435...»