Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... bienfaits partagés.

Enfin remises de leurs émotions, elles s’asseyent en rond, les cuisses écartées et s’admirent de haut en bas laissant échapper des soupirs de bien-être. Après les mains, les langues, c’est au tour des yeux d’apporter du bonheur. C’est Sophie qui brise le silence établi :

— Merci, merci à vous deux de m’avoir appris à refouler ma gêne, mes principes. Quel feu d’artifice vous m’avez offert ! Je ne regrette qu’une seule chose c’est de n’avoir pas écouté mon homme plus tôt. Je croyais qu’il voulait seulement que je réalise un de ses phantasmes. Aujourd’hui, grâce à vous, je sais qu’il est aussi bon de faire l’amour avec une femme (et… plus, si affinité) qu’avec un homme ! Mais je le dois aussi à ton compagnon, ma M, c’est lui qui m’a proposé de me présenter à vous… Et…
— Et quoi, ma biche ? lancèrent en cœur les deux déniaiseuses.
— Je… J’ai promis à ton homme, M, de le récompenser pour m’avoir proposé votre aide.
— Nous savons, nous ne nous cachons rien entre nous quatre. Alors, si tu veux le remercier ou si tu veux qu’il te fasse l’amour, je n’y vois aucun inconvénient, je serais même heureuse que vous jouissiez ensemble… Mais où est ton mari ? Je ferais bien sa connaissance, moi… Me le prêterais-tu, un petit moment ?
— Ah non ! Je ne te le prêterai pas, je te l’offrirai !
— Hé, et moi, vous me laissez sur le parking ? Vous oseriez abandonner votre petite Véro toute seule dans cette jungle ? Nous le laisserais-tu à toutes les deux ?
— D’accord, ...

... mais à une seule condition.
— Laquelle ?
— C’est que nous nous retrouvions toutes les trois, en même temps, avec nos hommes, comme ça, personne ne sera lésé, ton mari compris, ma chère Véro.
— Proposition malhonnête s’il en est, mais qui fait preuve de tant de générosité que nous l’acceptons, s’entendit-elle répondre par M.
— Allez, mes princesses, partons à la recherche de nos hommes. Je propose que nous nous rejoignions tous au bar de Max… OK ?

Nous nous trouvions, Jean-Louis et moi avec un « Secret de Max » dans nos verres, le sirotant tranquillement en nous faisant part de nos petites parties « amicales » et individuelles pendant que nos « douces » déluraient la belle Sophie. Point n’est besoin de vous décrire nos « frasques », votre imagination fertile suffira (je devine que quelques-uns d’entre vous sont un peu déçus… tant pis pour eux… Je leur en raconte déjà beaucoup et il me faut garder un peu de vie privée).

— Dis-moi, Jean-Louis, crois-tu que nos petites femmes sont arrivées à dégivrer « ma petite jeune » ?
— Je te vois venir, mon grand. N’aurais-tu pas envie de te la faire, la petite ?
— Oh non, tu me connais ! Surtout quand il s’agit d’une belle gazelle à la clef. Toujours présent pour défendre la veuve et la gourmande. Jamais d’arrière-pensée lubrique !
— Ah ! Max, je te présente le roi des faux-culs ! Môssieur n’a jamais derrière la tête l’intention de câliner ou de se faire choyer par une gente dame volontaire.
— Monsieur Jean-Louis, quitte à vous ...