A trois, ou plus...
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
ffh,
fbi,
freresoeur,
enceinte,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
couplea3,
Auteur: TomaN7, Source: Revebebe
... à me libérer assez tôt l’après-midi, et j’ai déménagé les affaires les plus importantes : des vêtements, des affaires de toilette et mon équipement informatique (eh oui, je ne peux pas vivre sans mon ordinateur, il fait office de télévision, de chaîne hi-fi, de console de jeu, de centre commercial ou de bibliothèque). Je rapporterais le reste au fur et à mesure ; de toute façon j’aurais encore la durée du préavis avant de quitter les lieux.
Une fois installés, nous sommes allés fêter notre début de vie commune au restaurant, puis dans leur grand lit.
Les mois ont passé, j’ai appris à être heureux de ma relation cachée, j’ai pris l’habitude de tempérer en public mon amour pour mes deux femmes, pour le laisser rugir une fois chez nous. Je savais qu’il y avait tout de même quelques commérages de voisinage à notre sujet, mais j’ai vite compris que c’était plus de la jalousie qu’autre chose. Je suis maintenant davantage fier que gêné lorsque je croise le regard de l’un de nos voisins, surtout de ceux qui n’espèrent qu’une chose : être à ma place !
Nous avons fêté comme il se doit notre première année de vie commune, la soirée a été bien arrosée, j’ai exprimé malgré moi ce qui me titillait l’esprit depuis quelques semaines : devenir père. Là, leurs yeux ont brillé, elles m’ont avoué qu’elles avaient déjà cette idée en tête, mais qu’elles n’osaient pas me le dire, de peur de ma réaction. Nous sommes rapidement passés à un autre sujet de conversation mais l’idée a germé ...
... dans nos esprits. Quelques jours plus tard, nous en avons reparlé à tête reposée, et nous avons décidé d’élever tous les trois un enfant, c’était ce qui manquait pour nous combler.
Mais j’ai eu la maladresse de demander qui voulait le porter. Le ton a tout de suite monté, j’ai assisté à une violente scène de jalousie. Je suis resté penaud en assistant à leur dispute, ne sachant comment faire pour arranger la situation. Les injures pleuvaient, elles semblaient m’ignorer, tout occupées à se blesser verbalement. Je me suis rendu compte que la violence de leurs paroles n’était pas seulement dû à de la jalousie concernant le bébé, mais qu’elle était aussi amplifiée par mon attitude envers elles. J’ai réalisé à quel point mon désir d’avoir deux femmes identiques était malsain, je m’en suis immédiatement voulu à mort.
Mais qu’est-ce qui m’a pris ! Pourquoi ai-je voulu gommer leurs différences ? Mais je suis un malade mental ! Bien évidemment que cette situation psychologiquement intenable allait tôt ou tard éclater ! Et j’en avais le résultat sous les yeux… Je me sens tellement minable ! Bon, c’est fini, jamais plus je ne les considèrerais comme deux clones.
Je suis allé vers elles, avec une attitude assurée. J’ai crié pour arrêter la dispute. Stop ! N’ayant pas l’habitude de me voir comme ça, elles se sont calmées, craignant peut-être ce que j’allais leur dire. Je leur ai demandé leurs prénoms, elles ont été surprises, me l’ont dit. J’ai pris Marie dans mes bras, lui ai ...