1. Impromptus de couple (2)


    Datte: 04/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... mettre sur une plage parce que c'était celui de ses vingt ans, qu'elle avait conservé comme une relique.
    
    Elle lui faisait face maintenant, penchée en avant, et Olivier avait une vue plongeante sur les deux nibards sur le point de s'éjecter du maigre soutif. Lorsqu'elle se redressa, une aréole était à demi sortie, brune, provocante, et elle ne la dissimula pas. Elle se retourna, cette fois accroupie et le minuscule slip se contracta, révélant le haut de la raie des fesses. Toujours aucune réaction. Olivier commençait à ressentir une boule au creux de l'estomac. Elle le faisait exprès ou quoi ? Elle le regarda en souriant et déclara :
    
    - Il fait chaud, hein ? Tu n'as pas soif ?
    
    - Euh... si.
    
    - Je vais nous chercher à boire.
    
    Elle réapparut quelques minutes plus tard avec deux canettes et deux verres et, se penchant pour le servir, offrit à nouveau le spectacle de ses deux seins voluptueux dont l'un à moitié sorti de son logement. Olivier n'avait qu'un petit mouvement à faire pour les empoigner mais il se retint. Cathy retourna à son jardinage en ondulant de la croupe à moitié dénudée. Puis, se retournant vers lui, lâcha :
    
    - Pouff, il fait chaud, excuse-moi mais je me mets à l'aise.
    
    Et elle dénoua son soutien-gorge. Hypnotisé par les deux nibards en liberté, Olivier ne lisait plus son journal. In petto, Cathy se disait que sa stratégie était en bonne voie. Elle continua à sarcler, gratter, planter, imposant par ses mouvements un supplice au slip qui, soudain, ...
    ... lâcha prise et tomba au sol comme une feuille morte.
    
    - Ah zut, ma culotte n'a pas tenu, elle doit être trop petite, tant pis, je reste à poil, ça ne te gêne pas au moins ?
    
    Et d'exhiber sans pudeur son pubis aux poils follets et la raie profonde de ses fesses. Cette fois, Olivier bandait, à en avoir mal au gland. Il fourragea dans son short et sortit son pénis pour le soulager. Cathy s'en aperçut mais fit mine de n'avoir rien vu, un mince sourire aux lèvres. Son jardinage la fit passer à portée de la chaise longue. Au spectacle de ce corps nu, pulpeux et si vivant, Olivier craqua. Il la prit par le bras, l'attira sèchement à lui et la fit tomber sur lui et sur la chaise longue.
    
    - Mais qu'est-ce que tu fais ?
    
    - Je vais te baiser, là, tout de suite, espèce de chienne !
    
    Et sentant le gland survitaminé à l'entrée de sa grotte, Cathy, bien échauffée, n'eut qu'un mouvement de hanche à accomplir pour être pénétrée. Les pieds de chaque côté de la chaise longue, elle s'empala jusqu'à la garde et se mit à cavaler en lui mettant ses seins dressés dans la figure. Elle fit tout le boulot, si l'on peut dire, imposant son rythme, son ardeur et son appétit. En la voyant tressauter sur lui, les yeux clos et la langue sur les lèvres, Olivier se dit qu'elle avait vraiment besoin de sa bite et sa virilité, légèrement atténuée ces derniers temps, en fut toute revigorée. Mais Cathy, en même temps, se faisait une autre réflexion en chevauchant son mari : c'est surtout de bite qu'elle ...