1. Fantasme d’être soumis à une femme


    Datte: 22/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Kirgu, Source: Hds

    ... consommations que je payais. Ensuite, elle se pencha vers moi et m’accrocha la laisse à l’un des anneaux de mon collier d’esclave.
    
    Nous partîmes et je faisais tout pour rester près d’elle afin que la laisse ne se tende pas pour de ne pas être remarqué par les passants.
    
    Nous prîmes un taxi. Méa donna une adresse au chauffeur. Dix minutes plus tard, nous arrivâmes devant un immeuble où le trottoir à traverser était large. Il y avait beaucoup de monde. Je collais Méa sans regarder personne,
    
    Nous entrâmes dans un immeuble cossu et prîmes un ascenseur qui nous conduisit directement dans un institut de beauté.
    
    Toutes les employées semblaient connaître Méa qui ne s’arrêta pas à l’entrée. Elle me tirait derrière elle prestement. Croisant des femmes en peignoir, elle s’écria à la cantonade :
    
    -« facesitting gratis pour celles qui veulent ! »
    
    Nous arrivâmes dans une pièce avec une table d’examen médical. Elle m’ordonna de me mettre à poil.
    
    -« Tu va être totalement épilée et puis tu seras maquillée. Pour l’instant allonge toi sur le dos et laisse ta tête pendante au bout de la table, tu devras sucer jusqu’à l’orgasme toutes les chattes qui vont chevaucher ta bouche. »
    
    L’épilation dura suffisamment de temps pour que j’aie le temps de satisfaire trois femmes dont je n’ai jamais vu le visage.
    
    Une fois dépoilé, on m’assit devant une glace pour une séance de totale féminisation du visage, fard, rouge à lèvres, faux cils. Puis mes ongles de mains et de pieds ...
    ... furent recouverts de vernis écarlate. La séance se termina par la mise en place d’une perruque blonde à la coupe garçonne.
    
    Ceci étant fait, il était déjà tard dans l’après midi. Méa m’ordonna de me rhabiller avec mes propres vêtements. Elle remit la laisse en place, nous re- traversâmes l’institut sans passer inaperçus de visages pleins de sous entendus et nous descendîmes prendre un autre taxi qui attendait devant l’immeuble. J’avais une tête de femme sur « encore » une allure d’homme, ce qui interpella les quelques passants présents dehors.
    
    Nous nous rendîmes alors dans un grand Sexshop juste avant l’heure du dîner. A peine entrés, Méa appela une vendeuse qu’elle semblait bien connaître. Puis devant celle-ci, au milieu de la boutique, elle m’ordonna de me mettre nu ce qui me déstabilisa totalement mais je m’exécutais en pensant aux ordres de Maîtresse Lisa.
    
    On me conduisit ainsi, nu, dans les rayons au milieu des clients. On me choisit un mini string en dentelle blanche tout transparent. Il se nouait de chaque côté et comportait un simple cordon entre les fesses. Je n’eus pas le droit à un soutien gorge. Cela fut jugé totalement inutile « pour l’instant… ! » ajouta Méa. Affirmation qui me laissa perplexe pour la suite ?
    
    Méa me choisit, également, un serre taille seins dehors, en dentelles blanches que la vendeuse me laça très très serré dans le dos, j’avais du mal a respirer. Elle accrocha enfin les quatre lanières de porte jarretelles blanches à des bas blancs ...
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