1. Marchand d'illusions 2


    Datte: 21/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... Vierge ou pas, elles ne peuvent pas rester indifférentes à ces attouchements répétés à chaque essayage d’un autre modèle. Grégoire ne se prive pas de rectifier et de tâter surtout les zones érogènes. Maintenant elles se changent et lui ne se retourne plus. Il mate sans vergogne et passe ensuite son temps à lisser une bordure, à faire courir un index sur la lisière d’une culotte ou à repousser sous l’étoffe quelques poils qu’il faudra couper ou raser.
    
    En attendant ces poils lui permettent un accès aux entrejambes des filles décomplexées à leur tour. Il touche, il touche encore, avec un zèle infatigable, elles rient. Il appuie, caresse, émeut les sens; elles rêvent défilés, photos et ventes, mais rougissent d’un plaisir qui n’est pas seulement intellectuel. L’ambiance est joyeuse, détendue, de plus en plus exubérante. Aimé et moi, voyeurs ignorés, finissons par trouver ce plaisant spectacle tout à fait naturel. Nos femmes sont belles et vont faire carrière, car elles ne sont pas farouches. Grégoire a bien choisi, c’est un pro. Dans le fond c’est en retour une preuve de notre bon goût.
    
    Nous admirons le savoir faire de ce gaillard qui peut se permettre des gestes osés, qui sait mettre à profit le moindre détail pour se donner l’occasion d’intervenir, quitte à inventer des défauts, mais qui centimètre carré après centimètre carré explore hardiment la qualité de la peau, éprouve la tonicité des muscles et réussit régulièrement à ...
    ... laisser traîner un doigt ou une main sur les parties les plus intimes des postulantes à un emploi. Les deux femmes sont cependant ennuyées par l’obligation de choisir parmi ces merveilles le cadeau promis.
    
    Trop de belles choses! Elles sont penchées sur l’étalage des pièces de lingerie dispersées sur la table, discutent, examinent. Grégoire derrière elles, flatte un dos, pose la main sur une épaule, masse délicatement une croupe, fait courir des frissons et donne son avis. Il prend rapidement quelques photos dans les poses les plus curieuses avec le constant souci de montrer, sans dénuder, les détails anatomiques qui capteront l’œil. A genoux, debout, accroupies, penchées en avant fesses saillantes ou penchées en arrière pubis provocant, seules ou en couple lesbien: elles sont malléables, souples et d’humeur étonnamment égale.
    
    Ici, il faut laisser paraître la fraise d’un téton qui déborde, là les filles se mettent une main pour une caresse réciproque sur un sein, mais aussi sur la partie étroite de la petite culotte. Tout est bon pour plaire à Grégoire. De l’audace, réclame-t-il. Et les poses sont de plus en plus suggestives et osées. De l’attitude innocente, on passe progressivement à des gestes lascifs, à des attouchements osés entre filles. Ce type sait les échauffer sans alerter leurs défenses et sans effrayer leur pudeur. Ça va crescendo, elles s’en amusent surtout, pouffent de rire sans réel motif, énervées par l’ambiance. 
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