Traitement et guérison
Datte: 21/04/2020,
Catégories:
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Partouze / Groupe
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Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe
... satisfaire.
Pendant ce temps, je sens que son copain est passé à l’attaque. La panique m’envahit. Est-il protégé ? Je veux bien tout ce que l’on veut, mais en sécurité. Un reste d’emballage que je peux entrevoir sur la couchette me rassure. De toute façon, je n’imagine pas Pierre me faire prendre le moindre risque. Rassurée je peux savourer la lente progression du membre dans ma vulve. Cela fait si longtemps qu’une vraie queue ne m’a prise, et ce ne sont pas mes masturbations solitaires qui peuvent remplacer un sexe d’homme, chaud, dur et à la fois souple, glissant dans mon fourreau.
Il commence la douce danse, aux pas simplistes mais que la cadence variable rend la plus pratiquée de par le monde. Mais mon Obélix se plaint car je l’ai abandonné un instant. J’utilise ma langue comme une petite bite qui essaie de forcer le passage du sphincter au rythme imposé par l’autre homme. Il rebande déjà, le gaillard, et maintenant je trouve l’anus assoupli et entrouvert. J’ose y porter un doigt humide, faisant le tour avant de le proposer.
— Yes. Do it.
Même un sourd comprendrait car le geste suit la parole et l’homme recule vers moi. Alors, pour la première fois de ma vie, j’encule un homme. Mon majeur entre facilement, si facilement que j’hésite à lui joindre l’index. J’ose pourtant et la seconde suivante je ramone le fion offert. Obélix confirme son plaisir par cette voix si différente de celle que j’ai entendue au début.
Mais il bouge. Son copain aussi. Le gros ...
... recouvre sa bite d’une capote. L’autre enlève la sienne. Quel jeu jouent-ils ? On me pousse au bord de la couchette, en levrette. Le gros s’installe derrière moi, se positionne et son dard m’envahit. Si je craignais la taille de la bête, je suis rassurée car je l’accueille sans douleur. Merci pour la préparation du copain. Ils partagent tout, ces deux-là, et s’entendent comme larrons en foire. À croire que ce sont des habitués. Sans douleur, c’est peut-être vite dit. Il n’est pas encore entièrement en place car il donne des coups. Portant, je sens sa panse de buveur de bière plaquée contre mes fesses. Alors, que veut-il ?
En tournant la tête, j’ai la réponse dans le large miroir de courtoisie d’un pare-soleil abaissé. Les coups, ce n’est pas lui qui les donne. Il n’est que la courroie de transmission. C’est le petit, son copain, qui pousse et donne des coups et là, les bras m’en tombent : il l’encule ! Pas croyable… Le petit encule son compère, son compagnon de voyage, sa femme de remplacement. Pas étonnant que l’anus soit si souple s’ils s’emmanchent pendant les voyages.
Et il y va de bon cœur, pendant que l’enculé me transmet les vibrations. Ce n’est pas désagréable, si ce n’est que la masse me pousse en avant et que je dois m’appuyer sur la cabine si je ne veux pas me faire fracasser le crâne contre le métal. Esclave d’un Maître n’est pas une sinécure !
Une pause, ils font une pause ; pourtant, mon baiseur enculé n’a pas joui. Il retire son mandrin. Quel nouveau jeu ...