1. Traitement et guérison


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fhhh, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fsoumise, facial, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, jouet, sm, donjon, attache, piquepince, méthode, confession, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... qu’il peut voir une femme de mon âge. Mes piercings l’attirent. Il tend ses mains et me palpe comme pour s’assurer que c’est bien vrai. Je ne peux pas retenir un frisson alors qu’il joue avec le métal et mes tétons. Ma réaction le fait rire. Il parle à son collègue encore derrière le rideau et son ton change lorsqu’il découvre le piercing vers mon capuchon. Il n’est pas nécessaire de comprendre l’anglais pour savoir qu’il jubile de sa présence, alors que tout en glissant un doigt dans ma chatte il regarde Pierre, comme pour le défier ou se moquer de ce mari qui prête sa femme. Peut-être un mari impuissant et qui ne peut pas satisfaire sa jeune épouse ?
    
    Une main tire le rideau. Si le chauffeur a un faux air d’Astérix le Gaulois, la moustache en moins, l’homme allongé sur la couchette, d’un gabarit impressionnant, sorte de jouteur au corps de barrique de bière comme on en rencontre dans les « tournois des hommes forts » au Pays Basque ou encore en Écosse, dont les cheveux roux me font immédiatement penser à une sorte d’Obélix Grand-Breton, avec un catogan pour retenir ses cheveux longs dans son dos. Il me fixe avec un désir non dissimulé. Il semble sortir d’un somme dans son débardeur trop petit pour lui et son jean qui a vécu autant de kilomètres que son camion !
    
    — Good girl ! fait-il en se raclant la gorge. Her husband will just take a look ? So funny, indeed !
    
    Puis, avisant son comparse de route :
    
    — Let’s play her, to know who of us will fuck her ...
    ... first.
    
    Saisissant un dé sur le tableau de bord – la présence de cet objet incongru dans une cabine de camion me laisse à penser que ce n’est pas la première fois qu’ils doivent jouer une fille aux dés – Astérix se penche sur la couchette et lance :
    
    — Five ! You bastard ! fait l’homme au catogan en se saisissant du dé pour le lancer à son tour.
    — Bloody hell !
    
    Le dé a roulé, s’est arrêté sur 6.
    
    — Come on, bitch, fait le rouquin en agitant son index comme une invite. Come on the couch !
    
    Docilement, je grimpe à l’arrière sur la couchette biplace qui sert de chambre aux deux routiers. Comme dans les images d’Épinal, des pin-up sont scotchées sur les parois, cuisses écartées, seins dévoilés. Tout en finesse !
    
    Obélix pose les deux battoirs à linge qui lui servent de mains sur mes seins et se met à les malaxer tout en s’adressant à Pierre :
    
    — Look at your bloody bitch, husband ! I’ll fuck her and she’ll appreciate !
    
    Et il ponctue sa phrase d’un rire gras.
    
    Abandonnant un de mes seins, il déboutonne son jean et en extirpe un sexe déjà tendu, d’une dimension plus que respectable. Saisissant ma main gauche, il la pose sur ce chibre et impose un rythme de masturbation avant de me laisser continuer seule et de reprendre mon sein gauche. Je m’applique du mieux que je peux à enserrer cette colonne de chair qui forcit entre mes doigts, au point qu’ils ne parviennent plus à en faire le tour. Le gland violacé prend des proportions que je n’ai jamais croisées jusqu’à présent. Ces ...
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