Footix
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
intermast,
Oral
pénétratio,
Humour
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... ses lèvres gonflées. Bruno se rapproche, insensiblement, concentre son regard sur les fesses bien rondes, apprécie les traces de bronzage et le petit coquillage dont il aime tant la chaleur humide.
N’y tenant plus, il se prépare à grimper sur le lit lorsque la belle change encore de posture : s’allongeant sur le dos, elle passe les bras au-dessus de la tête, replie une jambe, genou en l’air, talon aux fesses, l’autre alanguie sur le matelas. Carole offre maintenant le spectacle de son intimité.
S’asseyant près d’elle, Bruno contemple le corps abandonné, offert. Carole ne dort pas, il n’est pas dupe. Doucement, précautionneusement, il retrousse le tee-shirt, caresse le ventre découvert, remonte le tissu jusqu’à libérer les seins.
Son regard gourmand détaille les trésors offerts, les petits seins laiteux et leurs aréoles pigmentées, le ventre plat et le nombril discret, le petit buisson taillé en bandeau rampant jusqu’aux lèvres entr’ouvertes, les cuisses, douces et accueillantes.
Le visage de Carole est serein, la comédie du sommeil pourrait prendre si son sexe ne tendait à déployer la corolle de ses petites lèvres ciselées, si les seins ne durcissaient sous les caresses, si les aréoles ne se contractaient pas, si les tétons ne s’érigeaient pas…
Patiemment, Bruno saoule le corps de Carole de caresses légères, des petites agaceries, de baisers aériens. La jeune femme laisse échapper quelques plaintes enamourées, mais garde les yeux clos.
Elle me fait le coup ...
... du viol de la dormeuse, s’amuse Bruno, mais je saurai bien la réveiller. Ses mains glissent toujours plus bas. Ses doigts gourmands abordent la petite forêt, s’égarent dans les boucles soyeuses.
Désireuse de savourer chaque instant, Carole allonge ses deux jambes, serrées, pour ralentir la progression des caresses, pour compliquer l’intrusion.
Les doigts de son amant sont dès lors contraints à plus d’insistance. Prenant garde à ne rien précipiter, Bruno évite soigneusement la fente où sourd le bouton sensible. Il contourne les lèvres enflées qui rosissent, flatte les abords de ce sexe parfaitement épilé, remonte sur le mont de Vénus, en apprécie le relief bombé, la toison éclaircie.
Doucement, insensiblement, sous la pression discrète mais impérieuse de ses doigts, les cuisses de Carole s’entr’ouvrent, s’ouvrent, s’écartent, libèrent le passage.
À présent écartées, les cuisses obéissantes lui ouvrent la vision totale de la petite chatte dont ses doigts ressentent la chaleur délicieuse. Dans le sillon des grandes lèvres, les petites lèvres déploient leurs frisottis, où commence à poindre le bouton d’amour. Une fine moiteur perle sur les chairs échauffées. Bruno s’allonge contre sa compagne, son sexe dur et tendu appuie sur la cuisse écartée. Et lorsqu’un doigt, enfin, plonge dans le canyon, c’est pour se noyer dans les flots impétueux d’une rivière en crue. L’index inquisiteur brave le courant, remonte le lit de cette rivière brûlante, s’abrite un instant sous le ...