1. Pris le nez dans sa culotte


    Datte: 20/04/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, cérébral, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio, Auteur: AuxpiedsdeMaîtresse, Source: Revebebe

    Ce texte fait suite au n° 11389, « Prêté par ma patronne », dont la lecture préalable est indispensable à sa compréhension.
    
    À dix heures précises, comme elle m’en avait averti la veille, ma patronne me laissa seul dans sa librairie, pour au moins deux heures, me dit-elle d’une voix neutre. Comme précédemment, elle m’enferma à double tour après m’avoir donné ses directives concernant l’inventaire de livres de prix qu’elle comptait envoyer le lundi suivant à l’un de ses clients. Comme je m’étais bien avancé dans ce travail, en toute discrétion pour ne pas qu’elle s’en aperçoive, je ne mis pas longtemps à le mener à bien. Il me restait plus d’une heure pour ce que j’avais à faire, et qui m’avait occupé l’esprit une partie de la nuit précédente, le nez sur le sous-vêtement de sa sœur…
    
    Libéré de ce travail, dont elle ne manquerait pas de s’enquérir lors de son retour, je montai à toute vitesse l’escalier pour me précipiter dans sa chambre à l’étage, où je trouvai ses sous-vêtements portés de l’avant-veille, bien évidence sur son lit. Il y avait un chemisier blanc, une longue robe de couleur noire, un collant de couleur grise, une large mais fine culotte blanche et un léger soutien-gorge de même couleur, suffisant pour une petite poitrine. L’ensemble paraissait négligemment jeté en travers du lit…
    
    Je restai un long moment à détailler tous ces trésors, puis je me mis à genoux et je les pris un par un, presque religieusement, pour les admirer, les palper, les caresser, les ...
    ... sentir, le cœur chaviré de penser qu’ils avaient touché le corps de ma patronne. J’avais commencé par le chemiser et la robe dans lesquels je retrouvai le délicat parfum qu’elle laissait derrière elle, ce matin encore, à chacun de ses déplacements dans la librairie. Un parfum délicat, comme en porte les femmes aisées d’un certain âge.
    
    Je m’intéressai ensuite à son petit soutien-gorge, dont je vérifiai la taille : 85B. J’en admirai les fines dentelles, et surtout je cherchai l’emplacement où avaient pu se loger les pointes de ses seins. Je fus un peu déçu de ne pas y retrouver l’odeur de ses petits seins, mais là aussi le souvenir de son parfum. Je caressai ses bonnets en imaginant les deux charmant petits globes, laiteux et un peu tombants qui devaient s’y loger peu de temps auparavant. Mais après avoir goûté ces premiers plaisirs à leur juste valeur, il était temps de passer à l’essentiel : il me restait quarante-cinq minutes pour en jouir.
    
    Je pris alors son collant et j’en reniflai longuement le gousset, percevant une légère odeur, indéfinissable mais déjà existante. Restait la culotte blanche que j’avais gardée pour la fin. Je commençai par la caresser, je m’en caressai le visage, la passant et la repassant sur ma bouche et devant mon nez, à genoux devant le lit, à genoux devant la culotte de ma patronne. Puis je me décidai à aller chercher son odeur la plus intime au fond de sa merveilleuse petite culotte, sur l’entrejambe qui avait eu le bonheur d’être en contact ...
«123»