Les dérives de Cloé (1) - Histoires de Sexe

Les dérives de Cloé (1)

Cloé, avide de sexe, aimerait en connaître toutes les variances les plus perverses. Elle décide avec l’accord de son compagnon Roman, de satisfaire ses envies qui deviennent de plus en plus pressantes.

Ils se rendent dans un club réputé pour ses pratiques hard.

Une grande femme vêtue d’une minijupe noire avec un petit tablier blanc les reçoit.

Elle leur pose quelques questions sur leur désir pour pouvoir les mener au bon endroit.

La femme les conduit au sous-sol, les murs sont couverts de grandes tentures de velours rouge, une lumière tamisée éclaire la pièce.

On se croirait dans une pièce de château; des armoiries sont accrochées à plusieurs endroits.

Déjà, plusieurs personnes sont présentes dans la salle.

Sur un cheval d’arçon, une femme nue, bras et chevilles attachées, subit le fouet; ses gémissements ne ressemblent pas à de la douleur, au contraire, elle encourage même son bourreau.

— Oui, encore plus fort frappe, frappe !

Une autre et sodomisée sauvagement avec un gode gigantesque!

Cloé a le regard fixé sur cette femme, qui prend tant plaisir à se faire brutaliser.

Un homme du club, tout souriant, s’approche de Cloé et son compagnon et leur demande à qui il doit faire connaître son art.

— C’est à ma femme ! répond Roman.

L’homme commence à dévêtir Cloé; comme dans un rituel, il déboutonne lentement le chemisier, le pose sur un cintre, se place derrière elle et lui dégrafe le soutien-gorge.

Les seins généreux giclent hors du ...

... carcan de dentelle qui les emprisonnait.

Les bouts épais se dressent fièrement au centre des aréoles brunes, l’homme ne peut s’empêcher de siffler admiration.

Il fait glisser le zip de la jupette écossaise, et commence à la faire descendre, il attrape au passe le string rouge et l’entraîne dans sa lente descente.

La chatte rasée apparaît, l’homme passe doucement sa main sur la fente, et reprend la descente, Cloé soupire.

Enfin, elle est nue, plusieurs voyeurs l’entourent, l’homme les repousse gentiment. Ensuite, il dirige Cloé vers une croix de Saint-André.

C’est avec inquiétude, qu’elle se laisse attacher les poignets et les chevilles; bras en V et jambes écartées, la position n’est pas la plus confortable pour elle.

L’homme lui frictionne le corps avec une huile odorante, il s’attarde sur le fessier bien rebondi de Cloé, qu’il pétrit avec dextérité.

Il lui écarte les demi-sphères et contemple longuement l’anneau ridé, il appuie dessus avec son majeur pour en tester la souplesse.

— Bien ça, la jolie Madame va prendre un pied d’enfer !

Il saisit dans un râtelier un fouet, et le fait claqué sur le sol, le bruit fait sursauter Cloé qui enfonce sa tête dans ses épaules, maintenant il fait glisser lentement la fine lanière de cuir sur le corps de Cloé qui tressaille.

Elle se cabre en poussant un petit cri lorsque le premier coup s’abat sur ses fesses, une petite strie rouge marque sa peau laiteuse.

Maintenant, les coups sont plus appuyés; l’homme ...