Gourmande mais jamais « seuls » (1)
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
plage,
boitenuit,
Masturbation
Oral
fsodo,
extraconj,
Auteur: Bendé, Source: Revebebe
... trucs, des manches, tu voulais dire. Eh, Patrick ici présent veut pas me croire que j’ai des seins plus gros que les tiens.
— Tu plaisantes ! T’es belle comme un cœur alors que moi avec mes gros lolos…
— Ah non, hein, dis pas ça, j’suis sûre que tu en fais bander plus d’un.
— En tout cas, ils ne me le disent pas !
Et là commence une longue messe basse, sans curé mais c’était sûrement aussi bien comme ça. Progressivement, je ne sais pas ce que Véro lui dit, mais Yvette semble moins sûre dans ses réponses. Elle me jette un coup d’œil de temps en temps. Véro est entrain de la chauffer. Elles se dirigent vers le bureau derrière, laissent la porte ouverte. Véro réapparaît et me fait signe de les suivre en même temps qu’un gros clin d’œil.
— N’allume pas, Patrick, et viens voir. T’as intérêt de dire que mes seins sont plus gros.
— Ah non, c’est pas légal ça.
— T’as raison, à trois on soulève : un, deux, trois !
Véro enlève carrément son tee-shirt et regarde vers Yvette.
— Oh putain, Yvette, quelle belle marchandise !
Yvette ne sait pas trop comment elle doit le prendre.
— Non sans rire, ils sont super beaux. Je peux toucher.
Sans attendre, elle tâte les mamelles qui sont impressionnantes. Evidemment ça tombe un peu, voire ça dégouline, mais c’est impressionnant, y’a de quoi se noyer ! Ils sont tout blancs et descendent presque à la ceinture. Elle soupèse, caresse, écrase délicatement.
— Tiens touche les miens aussi. Attends.
Yvette est pas mal gênée. ...
... Ses bras se coincent dans son haut ; Véro, avant qu’elle n’ait pu dire quoi que ce soit, lui enlève tout et notre Yvette est là, debout, rien au-dessus de la ceinture. Le bidon aussi est impressionnant, on ne voit pas la ceinture de la jupe plissée, noire et courte, très courte même qu’elle porte avec un corsaire moulant qui lui va jusqu’à mi-mollets. Véro tend son torse.
— Vas-y ! N’hésite pas, j’adore !
Yvette hésite un peu et y met de plus en plus d’intérêt. On dirait que ça l’excite pas mal. Véro le voit bien et en rajoute.
— Oh oui ! C’est bon que tu me tâtes les seins comme ça ! J’adore, tu fais ça bien tu sais. Continue. Attends, je m’appuie un peu sinon je vais tomber.
Elle se recule et s’appuie les deux bras en arrière sur un bureau, les seins en avant, un appel au viol ! Yvette y prend goût, à cette papouille. J’ai l’impression que le flair de Véro a raison, c’est une chaude qui cache bien son jeu ! J’ai l’impression aussi qu’elle s’y prend vraiment bien et que Véro en rajoute de moins en moins dans ses petits cris et autres manifestations de plaisir.
— Yvette, tu me fais vraiment du bien, tu sais que je mouille comme une fontaine. Vas y encore et après je te revaudrai ça.
Véro se baisse, fait valser son short, sa culotte et remet ses seins sous le nez d’Yvette, qui reprend son travail. Elle louche régulièrement sur le minou de Véro qui commence à onduler du cul, passe une cuisse entre les jambes d’Yvette se frotte avec une superbe indécence. Elle ...