1. Contrôle de gendarmerie


    Datte: 03/04/2018, Catégories: Anal Gay Hardcore, Auteur: CrazyJoz, Source: xHamster

    ... par-dessus mon jean.
    
    « T’as un bon cul toi, il en profite bien le gars de la photo ? Enfin vu ta proposition de petite salope, il ne doit pas être le seul à en profiter ! »
    
    On ne m’avait jamais traité de salope auparavant. Je n’étais pas parmi les plus fidèles, je ne pouvais pas le nier, mais jusqu’à présent mon mec était le seul à avoir emprunté cette voie.
    
    Mes vêtements glissèrent au sol et une légère fessée s’abattit sur mon derrière. Je ne pus retenir un petit cri.
    
    « Je suis sûr que t’aimes ça !
    
    — Oui… »
    
    Une nouvelle fessée arriva, suivit de plusieurs autres. Mes fesses me brulaient, j’entendis l’homme cracher et sentis ses doigts parcourir mon anus déjà bien ouvert par l’excitation.
    
    « T’as hâte de me recevoir salope ?
    
    — Oui… Mais doucement, s’il vous plait, je ne suis pas habitué à… »
    
    Je n’eus pas le temps de finir ma phrase, son gland entra en moi avec force. Le gendarme plaqua sa main sur ma bouche pour étouffer le cri de douleur.
    
    « Je fais ce que je veux, sinon tu peux dire adieu à ton permis compris ? »
    
    J’acquiesçai silencieusement. Je ne contrôlais plus la situation, je me trouvais au milieu de la campagne, dans une camionnette à la merci de ce gendarme…
    
    Il s’enfonça lentement en moi, répétant à quel point mon cul était étroit. Plusieurs fessées s’étaient à nouveau abattues sur moi. Quand enfin il arriva au bout de la course, il s’immobilisa. Son pieu m’empalait sur plus de vingt centimètres. J’avais peur de la manière dont il ...
    ... me baiserait. Il gigota lentement, faisant tapoter ses couilles contre moi. Comme s’il cherchait à s’enfoncer davantage.
    
    « Passons aux choses sérieuses maintenant. »
    
    Il retira subitement la moitié de son membre et le renfonça presque aussitôt. Je me sentais envahi, oppressé par cet énorme engin qui me déformait de l’intérieur. Le gendarme réitéra l’expérience plusieurs fois. Je sentais sa bite au plus profond de moi, malgré la douleur provoquée par ses coups de bassin, j’aimais ça.
    
    Il me baisa sans ménagement pendant un long moment, mon cerveau n’enregistrait plus les signaux de douleur que le reste de mon corps lui envoyait. Je m’étais perdu quelque part entre l’extase et la douleur, je réagissais mécaniquement à ses mouvements. Je couinai comme une salope selon lui. Il prenait assurément son pied. Il se cramponnait fermement à mes hanches, ça laisserait certainement des traces. Je sentis la pression de ses mains augmenter, sa respiration se saccadait de plus en plus à chacun de ses coups de reins. Il allait jouir, j’en étais convaincu. Encore quelques instants et mon supplice, mon plaisir, allaient s’arrêter. Je réalisai alors qu’il ne portait pas de préservatif, il allait se répandre en moi.
    
    Il gémissait comme un fauve tout en me donnant de petites fessées, je sentis son gland éclater en moi. Son sperme se répandait en moi par de multiples jets. Sans m’en rendre compte, je jouissais aussi, mon sperme se déversait sur mes vêtements.
    
    Le gendarme resta planté ...