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Marilyn, ma jolie nièce (9)
Datte: 17/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Phantome, Source: Xstory
... a un gros cul mais son anus est encore plus étroit que sa chatte. Plop ! Mon gland est absorbé et son anneau se referme un peu sur ma bite. Je pousse et plusieurs cms s’enfilent dans son charmant trou du cul. Marilyn crie et ça sonne comme une douleur. Je recule vite fait. — Non ! C’est bon Tonton. Gémit Marilyn. Vas-y, enfonce-toi. En baissant mes yeux je m’aperçois que son trou de balle n’est plus plissé et qu’il est devenu tellement large qu’on pourrait faire tomber sans problème une balle de ping-pong dedans. Je remets mon gland dans ce boyau rose et il est comme aspiré lorsque le muscle anal se referme après la couronne de mon sexe. Ma bite s’enfonce beaucoup plus facilement cette fois, et après quelques petits allers-retours dans son petit trou, je baise ma petite chérie dans le cul. J’ai quand même gardé mon poing enroulé autour de ma bite pour ne pas aller plus loin et risquer de la déchirer. Ma bite est dans un étau… son cul est incroyablement étroit et…bouillant. Marilyn me crie de la baiser plus fort et plus loin. Stéphanie en dessous de moi me serre les couilles et tire dessus sauvagement. Les minutes suivantes sont floues et je me souviens d’une série d’images des plus pornographiques. Marilyn hurlait contre moi, mais je ne me souviens pas si elle hurlait pour que j’arrête ou que je n’arrête pas. Dans le miroir je vois nos corps luisants s’écraser l’un contre l’autre, et moi accroupi au-dessus d’elle comme un fauve qui va dévorer ses ...
... proies. Stéphanie criait aussi et elle est derrière moi. Je sens ses doigts qui entrent dans mon cul et qui remuent cherchant le point particulier de la prostate que finalement elle trouve. Marilyn est entrain de jouir, je pense… car son cul broie ma bite en contractions successives. Stéphanie ressort ses doigts et je sens qu’elle écarte mes fesses. Aaahhh, sa langue me fouille ! Je crie et je les traite de salopes toute les deux. Je sodomise ma nièce ! Je suis le pire des salops. Et je jouis ! Putain je jouis ! Et je crache comme un volcan mon sperme dans ses entrailles pendant que la langue de Stéphanie me fait des choses inimaginables pour moi quelques instants plus tôt. Enfin, mon orgasme commence à s’estomper après ce qui semble une éternité. Et puis... Un autre cri emplit la pièce. Un cri d’horreur, d’une voix que je ne reconnais immédiatement. Après le cri, un bruit sourd mais assez fort qui vient du couloir. Quand je regarde je vois des chaussures de tennis bleus familières et les chevilles enflées, enfermées dans des chaussettes blanches. Le reste de Carole est étendu sur le sol du couloir. — Putain quelle baraque ! crie Stéphanie avant de s’enfuir de la chambre sous les gémissements et les pleurs de Marilyn. Les médecins m’ont dit que Carole a eu un AVC. Sa tension artérielle lui causait des problèmes depuis un certain temps, et que cela aurait pu lui arriver à n’importe quel instant. Elle a dû avoir un choc, me dit le médecin après que je lui ...