1. La culotte de Cathy


    Datte: 03/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... je dirai coquines. Je lis les titres et pris celle où est marqué « salle de bains ». Pascal avait fait son entré. La culotte en main. J’introduis la cassette dans le magnétoscope et invitais le stagiaire à prendre place sur le divan.
    
    Après quelques images brouillées, ma femme Cathy fit son apparition à bord de sa baignoire. Elle se savonnait consciencieusement les seins. Puis son ventre dodue, et enfin sa chatte poilue. Derrière l’écran, le savonnage avait laissé place à une masturbation. Cathy c’était même permis une pose obscène en posant un pied sur le rebord de la baignoire. En gros plan, on distinguer nettement ses doigts s’activaient dans son antre. Avant d’exhiber à l’objectif un clitoris bandé, qu’elle tenait entre deux doigts. Puis vint le tour de son anus d’être présenté. Où, elle y inséra son index dans son entier. Je jetais un coup d’œil du côté de mon Pascal. Il avait les yeux rivés sur l’écran et rien d’autre ne compter pour lui.
    
    Des gros plans se succédèrent. Sur ses gros seins. Sur son bouton turgescent. Sur son visage alors qu’elle passait sa langue sur ses lèvres.
    
    Je ne sais pas combien de temps duraient ces scènes, mais ce que je savais c’était que le stagiaire était captivé par de tels images. Ses yeux révulsés, magnétisés par la chatte béante, affichée. Dont elle avait maintenant deux doigts bien enfoncés, remuant son popotin d’avant en arrière.
    
    J’étais au comble de l’excitation. M’étant les coutures de mon pantalon en danger, prêt à ...
    ... exploser sous la poussée de ma forte érection.
    
    Sur l’écran, toujours sous le jet d’eau, ma femme était maintenant en train de se goder avec la queue de la brosse à cheveux pour le plus grand plaisir de pascal. La faisant disparaître presque totalement dans son antre. Elle avait deux doigts de son autre main plantés dans l’anus. Ses gémissements encore timide jusqu’à maintenant s’étaient peu à peu transformés en cris.
    
    - Toi aussi tu bandes ? Me renseignais-je du côté du stagiaire.
    
    Il était tellement absorber par les images qui défilaient sous ses yeux qui en avait oublier ma présence. Je réitérais ma question. Un ton plus haut.
    
    Il me regardait, décontenancé, puis lança un :
    
    - Oui….
    
    - Oui quoi ? Fis-je
    
    - Oui… je bande…
    
    - Eh bien mon cochon ! Tu n’as pas honte de bander en regardant ma femme.
    
    - Oh ! Pardon… fit-il en se levant. Tu veux que je sorte de la pièce.
    
    - Je t’en prie… reste. Je sens bien que cela t’intéresse.
    
    Pour ce que je m’apprêtais à lui dire, je sentais comme des frissons dans mon estomac. Tel un jour de rentrée des classes. Pourtant je pouvais sentir mon érection tendre un peu plus mon slip. D’une voix rauque je lui soumis alors de se branler. Bien entendu, je le sentis très retissant à ma requête.
    
    - Eh bien ! Fais ce que tu veux. Qu’en à moi, tout ça m’a donné une telle trique, que j'ai un énorme besoin de me satisfaire. Si tu vois ce que je veux te faire comprendre.
    
    Comme pour donner du poids à ma parole, je déboutonnais mon ...