1. Le Stage d’Elodie 3


    Datte: 15/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: xsoumise, Source: xHamster

    ... nus ce n'est pas évident surtout tenue en laisse par les menottes. J'entends le hennissement des chevaux. Puis nous arrivons devant un bâtiment qui est en fait une écurie à chevaux. Notre petit équipage longe la totalité des écuries, il y a quelques chevaux. Vers la moitié du bâtiment une porte en bois. Pour y accéder après que la Maîtresse ait ouvert la porte il faut se baisser. Puis je rentre à la suite du Maître. Je découvre une partie des écuries mais là il n'y a pas de chevaux ; c'est séparé par une cloison en bois. Les stalles sont beaucoup plus petites et je découvre des lits. Donc ce sont bien des cellules. Nous avançons vers le milieu de la partie réservée aux pénitents.
    
    La Maîtresse s'arrête, devant une stalle, ouvre la porte et me pousse dedans. La porte se referme. Voilà ma cellule. Un guichet s'ouvre dans la porte, la Maîtresse me dit « F1147 avance tends tes mains ». Je m'exécute passe les mains dans le guichet et elle me retire les menottes. Je recule et le guichet est refermé.
    
    Me voilà dans mon nouveau domaine.
    
    Le sol est en ciment, il n'y a aucune fenêtre, la cellule mesure 2 mètres au carré. La lumière provient de l'éclairage du couloir. Nous sommes en permanence dans une pénombre entretenue. C'est très petit. Sur un mur il y a deux ...
    ... matelas en mousse recouverts d'une housse en plastique. Le sommier c'est une planche de bois. Ce sont des lits superposés. Je doute que cela soit confortable. Dans un coin un sceau hygiénique en métal avec un couvercle. Les murs montent hauts et sont en pierres. La porte de la cellule est en bois jusqu'à 1 mètre de haut puis en barreaux. Cela permet de voir dans le couloir pour les prisonnières mais aussi que les surveillants nous inspectent sans possibilité de se cacher. Le guichet est fait juste à la limite du bois et des barreaux.
    
    La porte est fermée par une serrure et deux targettes en hauts et en bas.
    
    Je découvre sur la bannette du haut une paire d'espadrilles et une tenue carcérale. Cela se résume à un sac de toile de jute auquel on a pratiqué une ouverture pour la tête et deux pour les bras. Bien sur je l'enfile, d'ailleurs il y a mon numéro cousu sur les deux faces. Une fois habillée, je découvre que cette tenue est ridiculement courte, car elle me descend que sous le pli fessier. Mais au moins ce ne sera pas la nudité complète. Je m'imagine aussi qu'une autre prisonnière doit être ma codétenue puisqu'il y a deux lits.
    
    Je m'assoies sur le lit du bas. Ma tenue se relève exagérément et mes fesses touchent la housse plastique du matelas.
    
    A suivre... 
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