IP, IP, IP, Hourra ! IPV3
Datte: 14/04/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
fsoumise,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... Plutôt passive. Jamais – ou très rarement – elle ne m’a caressé les fesses alors qu’elle me suçait ou que je la possédais.
Elle me suce. Gourmande, elle enveloppe ma tige. Mes bourses deviennent des bonbons.
C’est différent. Plus entreprenante. Plus généreuse. Plus, plus, plus… à moins que ce ne soit mon imagination. Mais qu’importe, c’est si bon !
La pute d’Arnaud me pompe, pute obéissante, mais volontaire. Sa salive tire des fils entre ma queue et sa bouche. Sa langue en tisse une enveloppe brûlante. Putain, que c’est bon ! J’en ferme les yeux de plaisir. Va-t-elle me pomper jusqu’à ce que je crache tout au fond de sa gorge ? Ma femme va-t-elle se laisser emporter et oublier les habitudes que notre couple a établies au fil des années ?
Non, car déjà elle se redresse. Il n’aurait pas fallu beaucoup plus pour que la jouissance vienne. Elle m’enjambe, et dans un geste d’une obscénité terrible elle tire sur le ruban qui cache sa chatte, en libère la fente et vient s’asseoir sur moi.
Bien sûr, ce n’est pas la première fois que Séverine me chevauche. Je sais qu’ainsi elle contrôle parfaitement sa possession, la fréquence, l’angle.
Elle est bien droite. Déjà sa main a libéré ma queue dont le gland est en elle. Elle est belle. Sa lingerie la magnifie encore plus que si elle était nue. Ses tétons sont des excroissances sublimes qui débordent de la dentelle. Sa taille semble plus fine avec ce tanga. Il l’habille d’un rien, et le ruban qui en descend, repoussé sur ...
... le côté avant de remonter derrière, certainement déjà glissé dans le sillon des fesses, est un sentier qui dirige mon regard.
J’apprécie ce moment. Séverine descend lentement tout en me regardant. Oui, j’apprécie car je peux voir qu’elle ne veut pas « bâcler » la mission que lui a confiée son amant. Non, elle descend, et son fourreau ouvert, humide – « la cochonne » – m’accueille. Voilà, j’ai beau regarder, ma bite n’est plus là. Nos deux ventres se touchent. Le sien ondule, et c’est délicieux. Ma tige est caressée par ces ondulations. On dirait que le fourreau reconnaît celui qui l’a moulé, façonné tout au fil des années. C’est une vieille connaissance ! Peut-être qu’il est plus petit que celui qui le ramone ces derniers temps, mais c’est bon aussi. Et lui au moins ne lui fait pas des infidélités en allant s’enfiler juste à côté, dans ce trou sombre, concurrent qui ne lui laisse que des miettes – en réalité des gouttes – de ce foutre qui coule lorsque la queue s’est vidée dans le cul.
Elle monte et descend. Ma femme se baise sur mon mandrin. Je suis dur, rigide, d’une puissance qui me surprend. Le spectacle est sublime. Vraiment, quelle belle idée j’ai eue de lui confier cette mission par l’intermédiaire de son amant ! Ses tétons m’attirent. Mes paumes immobiles sont des surfaces où ils se frottent par les mouvements de leur maîtresse.
Séverine gémit. Elle est, comme beaucoup de femmes, très sensible de ses pointes. Elle cherche les frottements, et se penche un peu ...