1. IP, IP, IP, Hourra ! IPV3


    Datte: 14/04/2020, Catégories: fh, fhh, cocus, fsoumise, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, jouet, yeuxbandés, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... déposés tous les accessoires de la mallette. Ils sont là ; c’est elle qui les a placés un à un en se demandant certainement lesquels, en dehors de ceux qu’elle porte, seront utilisés. Mon imagination perverse avait imaginé un scénario en sous-sol, Séverine attachée par les cordes au plafond, fouettée par l’un pendant que l’autre la baisait. Mais c’était trop. Peut-être une autre fois.
    
    — Tu as dû en avoir, des amants, chère pute, avant moi ?
    
    C’est une question que j’ai demandé à Arnaud de poser. Après tout, ce que j’ai découvert sur mon épouse ne pourrait bien n’être qu’une fois de plus.
    
    — Non. Jamais. Enfin presque.
    
    Arnaud échange un regard avec moi. Je fais signe de continuer. Fait-elle allusion à Lisa, la vendeuse à domicile ?
    
    — Presque. C’est quoi, un presque amant ?
    — Une fois, juste une fois.
    — Mais raconte, petite pute. Tu nous fais bander, salope.
    — Il y a presque vingt ans. Avec un prof de notre fils qui lui donnait des cours de soutien à domicile.
    — Allez, raconte.
    
    La claque sur la fesse surprend Séverine, comme moi aussi d’ailleurs.
    
    — C’est une période où avec Pascal on se disputait souvent. Tout était prétexte à nous chamailler. Je le soupçonnais d’être infidèle. À l’époque, il se déplaçait beaucoup. Alors, comme ce prof me regardait avec un air intéressé, je l’ai fait venir une fois où mon fils n’était pas à la maison. On a baisé.
    — C’était bien ?
    — Oui, mais dès que cela a été fini, j’ai eu tellement honte que je l’ai congédié.
    — ...
    ... C’est tout ? Personne d’autre que moi ?
    
    Un moment de faiblesse bien pardonnable. J’ai moi-même, justement pendant cette période, satisfait des besoins avec des rencontres d’une heure.
    
    — Non.
    
    Arnaud me fait signe de m’approcher. Elle sent notre présence. Comment pourrait-elle ignorer Arnaud qui l’embrasse, ses mains qui la caressent et moi qui me colle contre son dos, passant une main exploratrice sous la robe « ras du bonbon » pour découvrir la masse métallique qui bouche son petit trou ainsi que la fine ficelle, partie visible de ce qui lui occupe le vagin.
    
    Séverine n’a plus rien de hiératique. Elle ne se refuse pas ; elle cherche le contact, ondule. Nous tournons autour d’elle. Je joue un moment avec les bijoux qui pendent de ses seins. C’est fou comme si peu de chose peut magnifier ! Un instant j’imagine déjà lui offrir de vraies pierres et lui demander dans le secret de notre maison de se promener avec, me délectant du mouvement de ces balanciers.
    
    Je l’embrasse. Sait-elle que ce n’est plus Arnaud ? J’ai bien fait attention de ne pas mettre mon eau de toilette et j’ai même poussé le détail à acheter celle d’Arnaud. Mais plein de détails peuvent nous trahir. Je n’ai pas la prestance de l’amant, mon ventre est arrondi, je suis quasi imberbe.
    
    Qu’importe ! La danse statique est lancinante. Je bande déjà comme un malade.
    
    Étrangement, c’est Arnaud qui semble le plus à l’aise de nous deux. Pourtant, moi à sa place, le mari à côté de moi, je me sentirais excité, ...
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