ma femme Thérèse au camping (2) - Histoires de Sexe

ma femme Thérèse au camping (2)

SUITE

Après ces révélations, et la proposition de ma femme je suis resté sans voix, abasourdi, j’étais partagé entre la honte pour elle et pour moi et une extrême excitation à l’idée de la voir dans cette situation et de participer comme un simple voyeur qui assiste au cocufiage d’un autre (alors que cet autre c’était moi), quelle situation !!! Mais mon manque de réactivité et mes hésitations avaient peu à peu convaincu mon épouse que je la laisserais et malgré l’horreur de la situation je devais bien admettre que j’allais céder ! Plus rien ne serait désormais pareil dans notre couple j’en avais bien conscience !

La nuit fut longue et j’eus du mal à trouver le sommeil contrairement à ma femme qui s’endormit très vite, épuisée par sa séance de baise et son exhibition ; elle sombra bientôt dans un sommeil profond ! Je ne sais pas ce qui me passa par la tête car j’eus soudain envie de la photographier, je descendis le duvet qui la recouvrait et saisissant mon portable je fis plusieurs clichés de son gros cul nu, je réussis même à la retourner sur le dos pour photographier son sexe, en lui écartant les cuisses je fis quelques gros plans de son conin, et je dus cesser car j’étais en érection, et je préférai garder mon excitation pour le lendemain !

J’avoue qu’au réveil je me sentis plutôt gêné, je ne savais que dire et ce fut ma femme qui, voyant ma gêne, me sourit et me consola en se serrant tendrement dans mes bras !

— J’espère que mon petit mari n’est plus ...

... fâché?

— Euh, non, va !

— Tu m’aimes toujours ?

— Oui ma chérie !

— Viens on va choisir la robe que je vais mettre aujourd’hui sans rien, d’accord ?

— Si tu veux, oui je me sentis rougir ! Elle fouilla un instant dans sa valise qui servait de garde-robe, et en sortit une mini robe de plage, largement décolletée en haut et évasée en bas, elle la plaça devant elle et l’ourlet se trouvait à une bonne quinzaine de centimètres de ses genoux, elle ne tenait à ses épaules que par deux minuscules ficelles qui se nouaient !

— Vas y met la pour voir !

Thérèse enfila la mini robe, et je ressentis un petit frisson de désir en pensant à la journée qui allait venir ! Nue sous cette petite chose qui ne tenait que par deux bouclettes, à la merci du moindre coup de vent ! Elle me regardait en souriant, et noua elle-même les bretelles;

— Pourvu que les nœuds ne se défassent pas minauda-t-elle ! Il faudra que je n’écarte pas trop les genoux au restaurant, sinon on verra ma minette ! Prends-moi en photo chéri !

— Je fis deux ou trois clichés de ma femme qui tournait et virevoltait devant moi faisant relever l’ourlet de la robe, et un instant j’eus la vision de sa touffe ! J’avais la gorge sèche, prenant un air mutin, elle saisir le bas de la robe et se troussa, dévoilant sa chatte poilue, des jolis petits poils doux et soyeux !

— Tu vois bien, petit coquin, ça te plait ?

— Oh oui ma chérie, tu es si belle ! Tu feras quand même attention !

— Oui ne t’inquiète pas et ...