1. Collègue de Travail


    Datte: 13/04/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... grondai-je.
    
    De nouveau, elle m'a inspecté comme si j'étais un crétin et si ça valait le coup qu'elle s'occupe de moi:
    
    « On s'en fout de ce que tu ressens ... tu ne comptes pas» dit-elle d'un ton acide. Et son regard méprisant.
    
    « Je ne veux pas que tu revois ce type» dis-je, d'une voix voix sifflante.
    
    Elle a attendu. Puis, lentement, très lentement, elle a soulevé sa minuscule jupe. Son sexe était nu, épilé, mais surtout étiré, ses lèvres de sexe distendues pendaient. Les surfaces visibles étaient couvertes de traînées de sperme, et un filet crémeux coulait de sa chatte.
    
    « Lèche ma chatte immédiatement ou je demande à Eustache et à ses potes de monter», dit-elle fermement.
    
    « Je t'ai dit ... tu ne dois plus le voir» sifflai-je. Mon sang battait dans ma tête. Je serrais les poings, les paumes moites.
    
    Elle a plissé les yeux, et cette chienne m'a dit:
    
    « A genoux, lèche-moi, adore ma chatte ..... c'est ta dernière chance».
    
    Je suis resté stoïque. Sheila a plongé la main dans son sac à main et sortit son téléphone. Elle a composé son numéro.
    
    «Tu dois me lécher, a dit Eustache ...» murmura-t-elle, « sinon ils s'occuperont de toi».
    
    J'ai frissonné. C'était des costauds. Habitués à convaincre les mecs. A trois contre un, aucune chance. Je suis tombé à genoux sur le tapis. D'un coup, comme si mes jambes avaient cédées. Sheila ne s'est pas approchée de moi. Elle a simplement tourné le téléphone vers moi pour qu'un enregistrement vidéo puisse ...
    ... commencer.
    
    « Approche, tu vas lécher ma chatte quand je te le dirai» intima-t-elle fermement.
    
    « J'appartiens à Eustache maintenant ... compris?»
    
    «Oui» répondis-je soumis.
    
    « Approche ... viens lécher la chatte de ta maîtresse» dit calmement Sheila.
    
    Sa chatte barbouillée de sperme était pendante, son clitoris était gonflé, sa vulve était béante, on pouvait entrer la main là-dedans comme dans un sac à main.
    
    Insensé.
    
    Mais j'ai léché sa chatte et j'ai avalé ses jus de sperme. Ça puait épicé, le foutre, la sueur, ça puait son ventre et tout ce qu'il avait craché là-dedans. J'ai eu la nausée.
    
    « Non!» elle a exigé, rapidement. « Lèche-tout .... et avale!»
    
    J'ai secoué la tête. Putain, je déteste ça. Je te déteste. SALOPE !!!
    
    « Avale»
    
    J'ai avalé.
    
    Elle a saisit ma tignasse à pleine main et a plaqué mon nez contre sa chatte:
    
    «Renifle, sens-le en moi, humes le fumet du mâle dominant»
    
    J'ai inhalé. J'ai inspiré et j'ai failli m'évanouir. Le parfum brut de leur copulation était enivrant. J'ai chaviré et je me suis assis sur mes talons. « C'est une drogue, réessaye» murmura-t-elle, un rictus déformait son joli visage.
    
    Je me suis soulé avec une autre respiration et ma tête a tourné.
    
    « Tète mes lèvres» murmura-t-elle et j'ai sucé. J'ai ressenti la plénitude, l'épaisseur, le muscle en elles. Gorgées de sang, gonflées par la convoitise, elles empoigneraient la bite aussi serré qu'elles pouvaient. Je les imaginais étroitement accrochées à la bite du ...